Investing.com - La livre sterling a vu s'aggraver ses pertes face à un dollar U.S. largement renforcé ce mercredi, sur fond de craintes concernant les perspectives économiques de la zone euro, à l'approche de la révélation de chiffres cruciaux concernant l'emploi privé américain.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6169 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 27 avril, puis s'est stabilisée vers 1.6171, perdant 0.31%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6108, son plancher du 24 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6238, son plafond du jour.
L'indice définitif des directeurs des achats manufacturiers de la zone euro montrait un dérapage de 47.7 vers 45.9, au lieu des 46 préalablement estimés, se retrouvant à son plus bas niveau depuis juin 2009.
Ce résultat laissait à penser que même les principales économies de la zone euro se retrouvaient affectées par la crise de la dette, la production manufacturée allemande subissant son revers le plus important depuis juillet 2009.
Il avait d'autre part été signalé que le chômage du pays avait augmenté le mois dernier.
Celui des 17 pays membres a quand à lui établi un nouveau sommet historique à 10.9% pour mars.
La devise de la Grande-Bretagne avait renoué avec la popularité après qu'une étude ait fait savoir que l'activité dans le bâtiment britannique avait moins diminué que redouté pour le mois dernier, tandis que le nombre des accords de prêts hypothécaires réalisait en mars une hausse inattendue.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine de la construction du Royaume-Uni s'est donc situé à 55.8, contre 56.7 auparavant, alors qu'une régression à 54 était crainte, ménageant l'espoir d'une poursuite de la relance du le secteur.
La monnaie britannique se maintenait aux abords d'un pic des 22 derniers mois face à l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.46% pour plonger à 0.8123.
Les Etats-Unis devaient quand à eux voir dans l'après-midi la divulgation du rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis leur gouvernement prévoyait de dévoiler le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6169 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 27 avril, puis s'est stabilisée vers 1.6171, perdant 0.31%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6108, son plancher du 24 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6238, son plafond du jour.
L'indice définitif des directeurs des achats manufacturiers de la zone euro montrait un dérapage de 47.7 vers 45.9, au lieu des 46 préalablement estimés, se retrouvant à son plus bas niveau depuis juin 2009.
Ce résultat laissait à penser que même les principales économies de la zone euro se retrouvaient affectées par la crise de la dette, la production manufacturée allemande subissant son revers le plus important depuis juillet 2009.
Il avait d'autre part été signalé que le chômage du pays avait augmenté le mois dernier.
Celui des 17 pays membres a quand à lui établi un nouveau sommet historique à 10.9% pour mars.
La devise de la Grande-Bretagne avait renoué avec la popularité après qu'une étude ait fait savoir que l'activité dans le bâtiment britannique avait moins diminué que redouté pour le mois dernier, tandis que le nombre des accords de prêts hypothécaires réalisait en mars une hausse inattendue.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine de la construction du Royaume-Uni s'est donc situé à 55.8, contre 56.7 auparavant, alors qu'une régression à 54 était crainte, ménageant l'espoir d'une poursuite de la relance du le secteur.
La monnaie britannique se maintenait aux abords d'un pic des 22 derniers mois face à l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.46% pour plonger à 0.8123.
Les Etats-Unis devaient quand à eux voir dans l'après-midi la divulgation du rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis leur gouvernement prévoyait de dévoiler le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.