Investing.com - La livre sterling ne n'est guère éloignée des abords de son sommet mensuel face au dollar U.S. ce mercredi, et ce malgré la déception causée par le secteur des services du Royaume-Uni, tandis que les yeux se tournaient vers le communiqué imminent sur son budget de la saison passée.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.6118 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6095, trébuchant de 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6012, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.6129, son plafond du mois établi hier.
La devise de la Grande-Bretagne s'accrochait après que le moral soit revenu grâce aux signes de progrès dans la gestion de la crise de la dette de la zone euro, suite au lancement lundi par les autorités grecques d'un plan de rachat de créances aux investisseurs privés.
Mais les craintes concernant les perspectives économiques là où elle a cours se sont trouvées exacerbées après qu'il ait été montré que le domaine tertiaire national avait réalisé en novembre sa progression la plus lente en près de deux ans, suite à une diminution des commandes.
L'indice des directeurs des acquisitions au sein de celui-ci, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est ainsi descendu depuis 50.6 vers 50.2, au lieu de l'ascension à 51.1 envisagée.
Des prévisions de croissance moroses et davantage de coupes dans les crédits de la part de George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du pays, étaient anticipées pour son communiqué sur le budget de l'automne prévu dans l'après-midi.
La monnaie à l'effigie de la reine n'a par ailleurs pas flanché contre l'euro, l'EUR/GBP n'arrachant que 0.01% pour se hisser à 0.8132.
Ce dernier a vu son avance creusée ce matin fondre suite à la révélation selon laquelle les ventes au détail de la zone euro avaient subi un revers de 1.2% en octobre, soit nettement plus que les 0.1% déjà redoutés.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.6118 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6095, trébuchant de 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6012, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.6129, son plafond du mois établi hier.
La devise de la Grande-Bretagne s'accrochait après que le moral soit revenu grâce aux signes de progrès dans la gestion de la crise de la dette de la zone euro, suite au lancement lundi par les autorités grecques d'un plan de rachat de créances aux investisseurs privés.
Mais les craintes concernant les perspectives économiques là où elle a cours se sont trouvées exacerbées après qu'il ait été montré que le domaine tertiaire national avait réalisé en novembre sa progression la plus lente en près de deux ans, suite à une diminution des commandes.
L'indice des directeurs des acquisitions au sein de celui-ci, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est ainsi descendu depuis 50.6 vers 50.2, au lieu de l'ascension à 51.1 envisagée.
Des prévisions de croissance moroses et davantage de coupes dans les crédits de la part de George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du pays, étaient anticipées pour son communiqué sur le budget de l'automne prévu dans l'après-midi.
La monnaie à l'effigie de la reine n'a par ailleurs pas flanché contre l'euro, l'EUR/GBP n'arrachant que 0.01% pour se hisser à 0.8132.
Ce dernier a vu son avance creusée ce matin fondre suite à la révélation selon laquelle les ventes au détail de la zone euro avaient subi un revers de 1.2% en octobre, soit nettement plus que les 0.1% déjà redoutés.