Investing.com - L'euro n'a pas réussi à s'extirper des abords d'une ornière des 11 derniers mois face au dollar U.S. ce jeudi, sur fond d'incertitudes concernant les effets d'une opération de refinancement sans précédent effectuée hier par la Banque Centrale Européenne.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3073 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3076, prenant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2956, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3076, son plafond du 20 décembre.
La première série de prêts à trois ans accordée par la BCE n'a en effet pas réussi à apaiser les craintes liées au problème du surendettement régional, les investisseurs ne sachant pas si elle augmenterait les achats d'obligations des états surendettés de la région, pour ainsi rabaisser les coûts de leurs emprunts.
Elle a ainsi accordé 489.19 milliards d'euros, lee montant le plus important jamais alloué à une opération de refinancement à long terme, dans l'espoir d'éviter une pénurie des liquiditésdans le bloc ayant adopté la monnaie unique.
La demande d'une force inattendue de la part de 523 banques européennes a toutefois souligné la sévérité du côté financier de la crise, et de ses effets sur les établissements de crédit.
La devise européenne a également gagné du terrain sur la livre sterling avec un couple EUR/GBP grignotant 0.12% pour se hisser à 0.8334
Les Etats-Unis devaient quand à eux rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres révisés de leur PIB trimestriel.
L'université du Michigan dévoilera quand à elle ses informations concernant le moral des consommateurs ainsi que l'inflation attendue.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3073 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3076, prenant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2956, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3076, son plafond du 20 décembre.
La première série de prêts à trois ans accordée par la BCE n'a en effet pas réussi à apaiser les craintes liées au problème du surendettement régional, les investisseurs ne sachant pas si elle augmenterait les achats d'obligations des états surendettés de la région, pour ainsi rabaisser les coûts de leurs emprunts.
Elle a ainsi accordé 489.19 milliards d'euros, lee montant le plus important jamais alloué à une opération de refinancement à long terme, dans l'espoir d'éviter une pénurie des liquiditésdans le bloc ayant adopté la monnaie unique.
La demande d'une force inattendue de la part de 523 banques européennes a toutefois souligné la sévérité du côté financier de la crise, et de ses effets sur les établissements de crédit.
La devise européenne a également gagné du terrain sur la livre sterling avec un couple EUR/GBP grignotant 0.12% pour se hisser à 0.8334
Les Etats-Unis devaient quand à eux rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres révisés de leur PIB trimestriel.
L'université du Michigan dévoilera quand à elle ses informations concernant le moral des consommateurs ainsi que l'inflation attendue.