NEW DELHI - L'Inde a conservé sa position de premier bénéficiaire mondial des envois de fonds cette année, avec des flux entrants atteignant le chiffre considérable de 125 milliards de dollars. Les contributions qui soutiennent ce chiffre proviennent principalement des États-Unis, du Royaume-Uni, de Singapour et des Émirats arabes unis, ces derniers ayant récemment conclu un accord de commerce monétaire avec l'Inde.
Si les envois de fonds de l'Inde sont au premier plan, d'autres pays ont également fait état de montants importants. Le Mexique a reçu 67 milliards de dollars et la Chine a suivi avec 50 milliards de dollars d'envois de fonds. Ces fonds jouent un rôle crucial dans l'économie de certains pays ; par exemple, au Tadjikistan et à Tonga, les envois de fonds constituent une part importante du produit intérieur brut (PIB).
Malgré ces bons chiffres, un vent d'inquiétude souffle, car la Banque mondiale a signalé un possible ralentissement de la croissance des flux de transferts de fonds. Ce ralentissement anticipé est attribué aux défis économiques mondiaux actuels qui pourraient avoir un impact négatif sur les revenus réels des migrants qui sont les principaux contributeurs de ces fonds. Le déclin potentiel de la croissance des envois de fonds pourrait avoir des implications plus larges pour les économies qui dépendent fortement de ces flux financiers pour leur stabilité et leur développement.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.