Investing.com - La livre sterling a à peine fléchi face au dollar U.S. lors des transactions précautionneuses de ce mercredi, les craintes concernant le secteur bancaire espagnol et les incertitudes causées par les élections grecques pesant sur la demande pour les valeurs les plus rémunératrices.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5582 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5566, trébuchant de 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5452, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.5643, son plafond du 30 mai.
L'ambiance était dominée par la crainte que les 100 milliards d'euros que pourrait atteindre le programme d'aide à l'Espagne ne viennent alourdir le fardeau de son surendettement, et ne constituent un obstacle supplémentaire à son accession aux marchés financiers.
Le taux de ses obligations décennales est cependant redescendu à 6.66%, après avoir culminé hier à leur plus haut niveau depuis l'adoption de l'euro, frôlant le seuil critique des 7% au-delà duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont dû solliciter une bouée de sauvetage.
La nervosité était exacerbée par l'imminence des élections législatives de dimanche en Grèce, qui pourraient décider de son futur au sein ou non du bloc euro.
La popularité de la devise de la Grande-Bretagne demeurait émoussée après que des résultats manufacturiers britanniques décevants aient ravivé le spectre de nouveaux assouplissements de la part de la Banque d'Angleterre.
Elle a ainsi céddé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.19% pour se hisser à 0.8045.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros en bons du trésor, et les Etats-Unis faire de même avec le volume des ventes au détail mesuré par leurs autorités ainsi que l'évolution des prix à la production.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5582 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5566, trébuchant de 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5452, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.5643, son plafond du 30 mai.
L'ambiance était dominée par la crainte que les 100 milliards d'euros que pourrait atteindre le programme d'aide à l'Espagne ne viennent alourdir le fardeau de son surendettement, et ne constituent un obstacle supplémentaire à son accession aux marchés financiers.
Le taux de ses obligations décennales est cependant redescendu à 6.66%, après avoir culminé hier à leur plus haut niveau depuis l'adoption de l'euro, frôlant le seuil critique des 7% au-delà duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont dû solliciter une bouée de sauvetage.
La nervosité était exacerbée par l'imminence des élections législatives de dimanche en Grèce, qui pourraient décider de son futur au sein ou non du bloc euro.
La popularité de la devise de la Grande-Bretagne demeurait émoussée après que des résultats manufacturiers britanniques décevants aient ravivé le spectre de nouveaux assouplissements de la part de la Banque d'Angleterre.
Elle a ainsi céddé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.19% pour se hisser à 0.8045.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros en bons du trésor, et les Etats-Unis faire de même avec le volume des ventes au détail mesuré par leurs autorités ainsi que l'évolution des prix à la production.