Futures Pros - Les options sur le brut étaient à la hausse ce jeudi, s'envolant vers un nouveau pic des 6 derniers mois, le dollar U.S. subissant une forte pression baissière après l'annonce par la Réserve Fédérale d'une seconde série d'assouplissements monétaires.
Sur la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur la pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 85.84 USD du baril, bondissant de 0.93%.
Ils avaient cependant atteint 86.83 USD en première partie de séance européenne, leur plus haut niveau depuis le 4 mai.
La banque centrale américaine a en effet déclaré en fin de journée d'hier qu'elle achèterait pour 600 milliards de bons du trésor américains au cours des 8 mois à venir, dans l'espoir de redémarrer une reprise économique "d'une lenteur décevante", tout en se ménageant la possibilité d'en faire davantage si la croissance et l'inflation devaient ne pas décoller dans les prochains mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a perdu 0.59% au cours de la même période. Les contrats pour du pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, ce mouvement les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La banque d'affaires JP Morgan-Chase a déclaré de son côté que les prix du baril pourraient grimper jusqu'à 100 USD d'ici la fin d'année, des achats de dettes et autres injections de capitaux supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale U.S. pour soutenir une économie nationale hésitante étant attendus.
Lawrence Eagles, chef du département des matières premières de la banque, a déclaré dans un rapport que "les assouplissements quantitatifs renforceront encore la pression baissière subie par le dollar", tout en précisant que "les 90 USD seront probablement franchis d'ici la fin de l'année, et ensuite les 100 USD".
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait précédemment annoncé dans son rapport hebdomadaire que les réserves de pétrole brut américaines avaient davantage augmenté que prévu au cours de la semaine dernière, progressant de 2 millions de barils, alors que les experts ne s'étaient pas attendus à les voir prendre plus de 1.7 millions.
Les futures sur le gaz naturel pour décembre ont quand à elles gagné 0.17% dans le même temps pour s'échanger à 3.854 USD par million d'unités thermiques britanniques.
Sur la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur la pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 85.84 USD du baril, bondissant de 0.93%.
Ils avaient cependant atteint 86.83 USD en première partie de séance européenne, leur plus haut niveau depuis le 4 mai.
La banque centrale américaine a en effet déclaré en fin de journée d'hier qu'elle achèterait pour 600 milliards de bons du trésor américains au cours des 8 mois à venir, dans l'espoir de redémarrer une reprise économique "d'une lenteur décevante", tout en se ménageant la possibilité d'en faire davantage si la croissance et l'inflation devaient ne pas décoller dans les prochains mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a perdu 0.59% au cours de la même période. Les contrats pour du pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, ce mouvement les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La banque d'affaires JP Morgan-Chase a déclaré de son côté que les prix du baril pourraient grimper jusqu'à 100 USD d'ici la fin d'année, des achats de dettes et autres injections de capitaux supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale U.S. pour soutenir une économie nationale hésitante étant attendus.
Lawrence Eagles, chef du département des matières premières de la banque, a déclaré dans un rapport que "les assouplissements quantitatifs renforceront encore la pression baissière subie par le dollar", tout en précisant que "les 90 USD seront probablement franchis d'ici la fin de l'année, et ensuite les 100 USD".
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait précédemment annoncé dans son rapport hebdomadaire que les réserves de pétrole brut américaines avaient davantage augmenté que prévu au cours de la semaine dernière, progressant de 2 millions de barils, alors que les experts ne s'étaient pas attendus à les voir prendre plus de 1.7 millions.
Les futures sur le gaz naturel pour décembre ont quand à elles gagné 0.17% dans le même temps pour s'échanger à 3.854 USD par million d'unités thermiques britanniques.