Investing.com - La livre sterling est tombée à son plus faible niveau en trois semaines face au dollar U.S. ce jeudi, les craintes liées à la crise de la dette grecque créant un regain de frilosité, celle-ci se trouvant encouragée par la médiocrité des résultats de l'emploi de la Grande-Bretagne divulgués hier.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6135 à l'ouverture de la séance européenne, son cours le plus bas depuis le 24 mai, puis s'est stabilisée vers 1.6141, perdant 0.32%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6056, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.6382, son plafond de mercredi.
Nout Wellink, membre du conseil directeur de le Banque Centrale Européenne, avait auparavant déclaré que le fonds de secours européen devrait doubler si les investisseurs privés contribuaient aux nouvelles aides de refinancement pour la Grèce.
Les chiffres dévoilés la veille indiquaient pour leur part que le nombre des demandeurs britanniques pour les allocations chômage avait nettement augmenté en mai, renforçant l'hypothèse selon laquelle la Banque d'Angleterre n'augmenterait pas ses taux d'intérêt cette année.
La devise du Royaume-Uni a par ailleurs perdu un peu de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.03% pour se hisser à 0.8758.
Les autorités de la Grande-Bretagne devraient faire connaître en cours de journée leur volume des ventes au détail, tandis que les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscription au chômage, et dévoileront des études sur le nombre des permis de construire accordés, celui des départs de chantiers et l'activité manufacturière.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6135 à l'ouverture de la séance européenne, son cours le plus bas depuis le 24 mai, puis s'est stabilisée vers 1.6141, perdant 0.32%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6056, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.6382, son plafond de mercredi.
Nout Wellink, membre du conseil directeur de le Banque Centrale Européenne, avait auparavant déclaré que le fonds de secours européen devrait doubler si les investisseurs privés contribuaient aux nouvelles aides de refinancement pour la Grèce.
Les chiffres dévoilés la veille indiquaient pour leur part que le nombre des demandeurs britanniques pour les allocations chômage avait nettement augmenté en mai, renforçant l'hypothèse selon laquelle la Banque d'Angleterre n'augmenterait pas ses taux d'intérêt cette année.
La devise du Royaume-Uni a par ailleurs perdu un peu de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.03% pour se hisser à 0.8758.
Les autorités de la Grande-Bretagne devraient faire connaître en cours de journée leur volume des ventes au détail, tandis que les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscription au chômage, et dévoileront des études sur le nombre des permis de construire accordés, celui des départs de chantiers et l'activité manufacturière.