Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en nette hausse ce jeudi, le moral des investisseurs ayant été ragaillardi suite à l'annonce de nouvelles mesures destinées à lutter contre la crise de la dette souveraine grecque et à augmenter le volume du fonds de secours régional.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 1.78%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.12%.
L'humeur des acteurs des marchés s'est trouvée largement renforcée après que les dirigeants européens aient convaincu les créanciers privés à consentir à 50% de réduction volontaire de la valeur de leurs dettes grecques, allégeant le fardeau accablant le pays de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus raisonnable.
Ils ont aussi accepté d'étendre la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, fournisseur de capitaux d'urgence de la région.
La finance se trouvait donc en large forme, Goldman Sachs bondissant de 5.86%, JP Morgan de 2.06%, et la Bank of America et Citigroup de respeectivement 2.01 et 0.81%.
Alcoa, premier producteur d'aluminium des Etats-Unis, était également en haut tu tableau, suivant la voie tracée par les cours des métaux de base, et gagnant ainsi 2.17%, de même que Chevron, le géant des hydrocarbures.
Visa, premier réseau de paiement mondial, a pour sa part encaissé 1.48% après avoir annoncé 14% de bénéfices supplémentaires pour le troisième trimestre, dépassant les attentes des experts, les dépenses par carte de crédit augmentant plus rapidement que celles par débit direct.
Le géant aérospatial Boeing a poursuivi son ascention d'hier, s'envolant de 4.46% l'annonce d'un dividende de 1.46 USD par action, supérieur aux prévisions, et après que le 787 Dreamliner, nouveau cheval de bataille de la compagnie, ait effectué son premier vol commercial.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Research in Motion, spécialiste des télécommunications, s'est effondré de 6.96%, devant faire face à une série de procès intentés par ses clients suite aux quatre jours d'interruption récemment subis par le service Blackberry.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Exxon Mobil, un poids lourd du pétrole, et les laboratoires pharmaceutiques Bristol-Myers Squibb, dont les résultats trimestriels devraient être divulgués en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles très enthousiastes, l'EURO STOXX 50 engrangeant 5.24%, le CAC 40 français 5.38%, le DAX 30 allemand 4.57% et le FTSE 100 britannique 2.66%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 3.2%, et le Nikkei 225 japonais 2.05%.
Les Etats-Unis publieront de leur côté dans l'après-midi leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 1.78%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.12%.
L'humeur des acteurs des marchés s'est trouvée largement renforcée après que les dirigeants européens aient convaincu les créanciers privés à consentir à 50% de réduction volontaire de la valeur de leurs dettes grecques, allégeant le fardeau accablant le pays de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus raisonnable.
Ils ont aussi accepté d'étendre la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, fournisseur de capitaux d'urgence de la région.
La finance se trouvait donc en large forme, Goldman Sachs bondissant de 5.86%, JP Morgan de 2.06%, et la Bank of America et Citigroup de respeectivement 2.01 et 0.81%.
Alcoa, premier producteur d'aluminium des Etats-Unis, était également en haut tu tableau, suivant la voie tracée par les cours des métaux de base, et gagnant ainsi 2.17%, de même que Chevron, le géant des hydrocarbures.
Visa, premier réseau de paiement mondial, a pour sa part encaissé 1.48% après avoir annoncé 14% de bénéfices supplémentaires pour le troisième trimestre, dépassant les attentes des experts, les dépenses par carte de crédit augmentant plus rapidement que celles par débit direct.
Le géant aérospatial Boeing a poursuivi son ascention d'hier, s'envolant de 4.46% l'annonce d'un dividende de 1.46 USD par action, supérieur aux prévisions, et après que le 787 Dreamliner, nouveau cheval de bataille de la compagnie, ait effectué son premier vol commercial.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Research in Motion, spécialiste des télécommunications, s'est effondré de 6.96%, devant faire face à une série de procès intentés par ses clients suite aux quatre jours d'interruption récemment subis par le service Blackberry.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Exxon Mobil, un poids lourd du pétrole, et les laboratoires pharmaceutiques Bristol-Myers Squibb, dont les résultats trimestriels devraient être divulgués en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles très enthousiastes, l'EURO STOXX 50 engrangeant 5.24%, le CAC 40 français 5.38%, le DAX 30 allemand 4.57% et le FTSE 100 britannique 2.66%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 3.2%, et le Nikkei 225 japonais 2.05%.
Les Etats-Unis publieront de leur côté dans l'après-midi leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.