Investing.com - La livre sterling était en forme face au dollar U.S. ce mardi, le goût pour le risque étant revenu malgré la persistance des craintes liées à la crise financière de la zone euro.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5624 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 28 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.5608, prenant 0.62%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5467, son plancher du 2 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5691, son plafond du 28 décembre.
Le moral est revenu après la divulgation dimanche d'une étude annonçant que l'activité manufacturière chinoise avait progressé en décembre, après avoir ralenti au mois précédent.
Une étude avait indiqué ce matin que l'activité manufacturière britannique avait mieux résisté en décembre que prébu, tout en restant dans le rouge pour le troisième mois d'affilée.
Le groupe de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier était effectivement remonté de 2 points vers 49.6 ajustés sur le mois, après s'être situé à 47.7 révisée à la hausse pour du précédent.
Les experts s'étaient attendus à le voir régresser jusqu'à 47.3 pour la période considérée.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une expansion de l'activité et inversement.
Les acteurs des marchés demeuraient toutefois sur le qui-vive en raison du spectre d'une dégradation sommaire des pays du bloc euro, les investisseurs guettant aussi les ventes aux enchères d'obligations allemandes et françaises devant se dérouler en cours de semaine afin de juger des conditions d'emprunt régionales.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre cédé du terrain à la monnaie unique, l'EUR/GBP grignotant 0.13% pour se hisser à 0.8349.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis rendra dans l'après-midi son rapport sur l'activité du secteur secondaire américain et la Réserve Fédérale dévoilera le compte-rendu de sa réunion d'orientation politique de décembre.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5624 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 28 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.5608, prenant 0.62%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5467, son plancher du 2 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5691, son plafond du 28 décembre.
Le moral est revenu après la divulgation dimanche d'une étude annonçant que l'activité manufacturière chinoise avait progressé en décembre, après avoir ralenti au mois précédent.
Une étude avait indiqué ce matin que l'activité manufacturière britannique avait mieux résisté en décembre que prébu, tout en restant dans le rouge pour le troisième mois d'affilée.
Le groupe de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier était effectivement remonté de 2 points vers 49.6 ajustés sur le mois, après s'être situé à 47.7 révisée à la hausse pour du précédent.
Les experts s'étaient attendus à le voir régresser jusqu'à 47.3 pour la période considérée.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une expansion de l'activité et inversement.
Les acteurs des marchés demeuraient toutefois sur le qui-vive en raison du spectre d'une dégradation sommaire des pays du bloc euro, les investisseurs guettant aussi les ventes aux enchères d'obligations allemandes et françaises devant se dérouler en cours de semaine afin de juger des conditions d'emprunt régionales.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre cédé du terrain à la monnaie unique, l'EUR/GBP grignotant 0.13% pour se hisser à 0.8349.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis rendra dans l'après-midi son rapport sur l'activité du secteur secondaire américain et la Réserve Fédérale dévoilera le compte-rendu de sa réunion d'orientation politique de décembre.