Investing.com - La Bourse de Paris reculait de 0,55% à mi-séance mercredi, après les résultats d’une adjudication allemande sur fond de regain d’inquiétudes au sujet de la crise de la zone euro.
Le Trésor allemand a vendu pour 4,057 euros d’obligations échéance 10 ans contre une cible de 5 milliards d’euros. Le taux moyen s’élevait à 1,93% contre 1,98% lors de la précédente émission en décembre.
Par ailleurs, les banques européennes ont placé mardi 453,18 milliards d'euros auprès de la Banque centrale européenne, soit un nouveau record, indiquant que les banques préfèrent stocker leurs liquidités plutôt que de les prêter entre elles.
Sur le front macroéconomique, l'indice définitif PMI Markit est ressorti à 50,3 points en France, contre 49,6 en novembre, et à 52,4 contre 50,3 pour l’Allemagne.
Quant à la consommation des ménages français en produits manufacturés, elle a diminué de 0,1% en novembre après une hausse de même ampleur en octobre.
Les valeurs financières évoluaient dans le rouge à mi-séance. BNP Paribas reculait de 0,69%, Société Générale de 2,16% et Crédit Agricole de 2,75%.
EDF perdait 4,61% après avoir évalué à environ 10 milliards d'euros le coût lié aux recommandations de l'Autorité de sûreté nucléaire en matière d'amélioration de la sécurité de ses centrales françaises.
Alcatel-Lucent se trouvait également en zone négative, cédant 3,79%, suivi par France Télécom qui perdait 1,17%, affaiblis par la révision à la baisse des prévisions de résultats annuels de l'américain Acme Packet.
Par ailleurs, Natixis a dégradé l'action Alcatel de «achat» à «neutre».
Dans le secteur automobile, Renault abandonnait 1,39% et Peugeot 1,25%.
Le groupe Renault et sa filiale Nissan ont fait savoir cette semaine qu’ils comptaient faire le point sur leur stratégie dans le segment des véhicules à bas coûts en Inde, tandis que Peugeot annonçait le départ du directeur des marques Jean-Marc Gales, qui sera remplacé par le directeur financier Frédéric Saint-Geours.
A l’inverse, EADS avançait de 0,24% après que Goldman Sachs a relevé son objectif de cours de 25 à 27 euros, tout en estimant que le potentiel de hausse est limité à court terme après une progression de près de 39% l'an dernier.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,98%, le DAX30 allemand abandonnait 0,49% et le Footsie 100 prenait 0,09%.
Le Trésor allemand a vendu pour 4,057 euros d’obligations échéance 10 ans contre une cible de 5 milliards d’euros. Le taux moyen s’élevait à 1,93% contre 1,98% lors de la précédente émission en décembre.
Par ailleurs, les banques européennes ont placé mardi 453,18 milliards d'euros auprès de la Banque centrale européenne, soit un nouveau record, indiquant que les banques préfèrent stocker leurs liquidités plutôt que de les prêter entre elles.
Sur le front macroéconomique, l'indice définitif PMI Markit est ressorti à 50,3 points en France, contre 49,6 en novembre, et à 52,4 contre 50,3 pour l’Allemagne.
Quant à la consommation des ménages français en produits manufacturés, elle a diminué de 0,1% en novembre après une hausse de même ampleur en octobre.
Les valeurs financières évoluaient dans le rouge à mi-séance. BNP Paribas reculait de 0,69%, Société Générale de 2,16% et Crédit Agricole de 2,75%.
EDF perdait 4,61% après avoir évalué à environ 10 milliards d'euros le coût lié aux recommandations de l'Autorité de sûreté nucléaire en matière d'amélioration de la sécurité de ses centrales françaises.
Alcatel-Lucent se trouvait également en zone négative, cédant 3,79%, suivi par France Télécom qui perdait 1,17%, affaiblis par la révision à la baisse des prévisions de résultats annuels de l'américain Acme Packet.
Par ailleurs, Natixis a dégradé l'action Alcatel de «achat» à «neutre».
Dans le secteur automobile, Renault abandonnait 1,39% et Peugeot 1,25%.
Le groupe Renault et sa filiale Nissan ont fait savoir cette semaine qu’ils comptaient faire le point sur leur stratégie dans le segment des véhicules à bas coûts en Inde, tandis que Peugeot annonçait le départ du directeur des marques Jean-Marc Gales, qui sera remplacé par le directeur financier Frédéric Saint-Geours.
A l’inverse, EADS avançait de 0,24% après que Goldman Sachs a relevé son objectif de cours de 25 à 27 euros, tout en estimant que le potentiel de hausse est limité à court terme après une progression de près de 39% l'an dernier.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,98%, le DAX30 allemand abandonnait 0,49% et le Footsie 100 prenait 0,09%.