Investing.com - Le dollar U.S. est descendu ce mardi vers un creux des deux derniers mois face au yen, la croissance de la Chine, dépassant les espérances, faisant oublier les peurs liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 76.58 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 18 novembre, puis s'est stabilisée vers 76.65, reculant de 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 76.33, son plancher du 28 septembre, et de rencontrer de la résistance à 76.95, son plafond du 3 janvier.
Le produit intérieur brut de a Chine a en effet augmenté de 8.9% annualisés au quatrième trimestre, soit moins que les 9.1% précédents, mais légèrement mieux que les 8.8% attendus.
Les investisseurs ont fait peu de cas du fait que l'agence Standard & Poor's ait rabaissé d'un cran vers AA+ sa notation du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours à la région.
Elle a déclaré cette décision inévitable, découlant de la rétrogradation vendredi de la France et de l'Autriche, deux des cautions du MSFE.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a réagi à la nouvelle en assurant que les obligations qui en émenaient deeuraient des investissements "attractifs" pour son pays.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, a quand à lui rencontré ce matin Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, afin de s'entretenir à propos du problème du surendettement de l'Europe, et des dernières évolutions des marchés financiers mondiaux.
Cette rencontre avait lieu alors que la devise du pays du soleil levant se maintenait aux abords d'un pic des onze dernières années par rapport à la monnaie unique, aggravant les difficultés rencontrées par l'économie de ce dernier, largement tournée vers l'exportation.
La seconde avait toutefois repris quelques longueurs sur la première, l'EUR/JPY gagnant 0.49% pour se hisser à 97.75.
Une étude avait montré ce matin que l'activité du secteur tertiaire japonais avait davantage diminué en novembre que prévu, perdant 0.8% après avoir pourtant augmenté de 0.7% le mois précédent.
Les experts ne s'étaient pas attendus à la voir perdre plus de 0.3% pour la période considérée.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler dans la journée l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 76.58 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 18 novembre, puis s'est stabilisée vers 76.65, reculant de 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 76.33, son plancher du 28 septembre, et de rencontrer de la résistance à 76.95, son plafond du 3 janvier.
Le produit intérieur brut de a Chine a en effet augmenté de 8.9% annualisés au quatrième trimestre, soit moins que les 9.1% précédents, mais légèrement mieux que les 8.8% attendus.
Les investisseurs ont fait peu de cas du fait que l'agence Standard & Poor's ait rabaissé d'un cran vers AA+ sa notation du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours à la région.
Elle a déclaré cette décision inévitable, découlant de la rétrogradation vendredi de la France et de l'Autriche, deux des cautions du MSFE.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a réagi à la nouvelle en assurant que les obligations qui en émenaient deeuraient des investissements "attractifs" pour son pays.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, a quand à lui rencontré ce matin Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, afin de s'entretenir à propos du problème du surendettement de l'Europe, et des dernières évolutions des marchés financiers mondiaux.
Cette rencontre avait lieu alors que la devise du pays du soleil levant se maintenait aux abords d'un pic des onze dernières années par rapport à la monnaie unique, aggravant les difficultés rencontrées par l'économie de ce dernier, largement tournée vers l'exportation.
La seconde avait toutefois repris quelques longueurs sur la première, l'EUR/JPY gagnant 0.49% pour se hisser à 97.75.
Une étude avait montré ce matin que l'activité du secteur tertiaire japonais avait davantage diminué en novembre que prévu, perdant 0.8% après avoir pourtant augmenté de 0.7% le mois précédent.
Les experts ne s'étaient pas attendus à la voir perdre plus de 0.3% pour la période considérée.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler dans la journée l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York.