Investing.com - Le dollar U.S. a redressé la tête face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, l'optimisme ayant suivi l'annonce du plan de secours pour un secteur bancaire espagnol déficient, s'étant dissipé une fois celui-ci étudié dans le détail.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD ne prenant plus que 0.2% pour grimper à 1.2543, retombant de son pic à 1.2669.
La monnaie unique a en effet bénéficié d'un coup de fouet après que les ministres des finances de l'Union Européenne aient accordé à l'Espagne un prêt plafonné à 100 milliards d'euros, qui serait utilisé afin de renflouer un secteur bancaire déliquescent.
Mais l'enthousiasme a laissé la place au scepticisme, les détails du plan de sauvetage demeurant obscurs, concernant notamment le montant exact que recevra le pays, qui devrait être déterminé par les audits indépendants du domaine financier devant être publiés au cours du mois.
L'attente des résultats des élections législatives grecques du 17 juin, qui pourraient déterminer si le pays restera ou non membre de la zone euro, était elle aussi au premier plan.
Le billet vert a également cédé un peu moins de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.37% pour se hisser à 1.5582.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.06% pour se retrouver à 79.41 et l'USD/CHF glissant de 0.22% pour tomber à 0.9572.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 1.025, l'AUD/USD raflant 0.36% pour monter à 0.9951 et le NZD/USD engrangeant 0.4% pour culminer à 0.7734.
Les monnaies fortement dépendantes de la croissance ont fait peu de cas des résultats chinois décevants concernant l'inflation, la production industrielle et les ventes au détail de mai, après que des chiffres des importations d'une vigueur inattendue aient dissipé le spectre d'un "atterrissage en catastrophe" de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.26% pour se situer à 82.69.
Des chiffres émanant des autorités françaises montraient quand à eux ce matin que la production industrielle nationale avait davantage augmenté en avril qu'il n'avait été espéré, rebondissant de 1.5% après avoir fondu de 1% le mois précédent, et ce alors que les experts ne pensaient pourtant pas la voir reprendre plus de 0.1% au cours de la période concernée.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD ne prenant plus que 0.2% pour grimper à 1.2543, retombant de son pic à 1.2669.
La monnaie unique a en effet bénéficié d'un coup de fouet après que les ministres des finances de l'Union Européenne aient accordé à l'Espagne un prêt plafonné à 100 milliards d'euros, qui serait utilisé afin de renflouer un secteur bancaire déliquescent.
Mais l'enthousiasme a laissé la place au scepticisme, les détails du plan de sauvetage demeurant obscurs, concernant notamment le montant exact que recevra le pays, qui devrait être déterminé par les audits indépendants du domaine financier devant être publiés au cours du mois.
L'attente des résultats des élections législatives grecques du 17 juin, qui pourraient déterminer si le pays restera ou non membre de la zone euro, était elle aussi au premier plan.
Le billet vert a également cédé un peu moins de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.37% pour se hisser à 1.5582.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.06% pour se retrouver à 79.41 et l'USD/CHF glissant de 0.22% pour tomber à 0.9572.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 1.025, l'AUD/USD raflant 0.36% pour monter à 0.9951 et le NZD/USD engrangeant 0.4% pour culminer à 0.7734.
Les monnaies fortement dépendantes de la croissance ont fait peu de cas des résultats chinois décevants concernant l'inflation, la production industrielle et les ventes au détail de mai, après que des chiffres des importations d'une vigueur inattendue aient dissipé le spectre d'un "atterrissage en catastrophe" de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.26% pour se situer à 82.69.
Des chiffres émanant des autorités françaises montraient quand à eux ce matin que la production industrielle nationale avait davantage augmenté en avril qu'il n'avait été espéré, rebondissant de 1.5% après avoir fondu de 1% le mois précédent, et ce alors que les experts ne pensaient pourtant pas la voir reprendre plus de 0.1% au cours de la période concernée.