Investing.com - La livre sterling était en berne face au dollar U.S. ce lundi après-midi, suivant le chemin tracé par l'euro, les investisseurs guettant les réunions d'orientation de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre prévues pour jeudi.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5674 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5707, perdant 0.24%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5665, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5766, son plafond de cinq semaines établi vendredi.
L'espoir que la BCE annoncerait, de nouvelles mesures destinées à juguler la longue crise de la zone euro avait redressé la tête après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, se soit engagé jeudi à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Mais la confiance demeurait fragilisée, la possibilité d'une déception restant dans tous les esprits.
Les inquiétudes concernant les perspectives économiques de la zone euro se sont en effet trouvées ravivées par des évaluations préliminaires signalant ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait laissé échapper 0.4% au second trimestre, constituant ainsi son neuvième mois de contraction d'affilée.
Le baromètre de la Commission Européenne du moral économique dans le bloc euro a pour sa part plongé pour juillet à sa valeur la plus faible des 34 mois écoulés, avec de fortes chutes du moral en Espagne, en Allemagne et en France.
Au Royaume-Uni, une étude officielle avait fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis 18 mois, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés, mettant en relief les angoisses d'affaiblissement de l'économie.
La banque centrale britannique a donc révélé que le premier était tombé de 50 544 en mai vers 44 192, du jamais vu depuis décembre 2010, et bien plus bas que les 49 000 déjà craints par les analystes.
Il avait déjà été souligné la semaine passée que l'économie nationale avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
La Banque d'Angleterre ne devrait quand à elle pas annoncer de changements majeurs lors de la rencontre de ses décideurs prévue jeudi.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de mercredi étaient aussi surveillées de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y donnner des signes indiquant une série d'injections de liquidités supplémentaires.
La devise de la Grande-Bretagne gardait par contre l'avantage sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.27% pour tomber à 0.7798.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer dans l'après-midi Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5674 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5707, perdant 0.24%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5665, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5766, son plafond de cinq semaines établi vendredi.
L'espoir que la BCE annoncerait, de nouvelles mesures destinées à juguler la longue crise de la zone euro avait redressé la tête après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, se soit engagé jeudi à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Mais la confiance demeurait fragilisée, la possibilité d'une déception restant dans tous les esprits.
Les inquiétudes concernant les perspectives économiques de la zone euro se sont en effet trouvées ravivées par des évaluations préliminaires signalant ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait laissé échapper 0.4% au second trimestre, constituant ainsi son neuvième mois de contraction d'affilée.
Le baromètre de la Commission Européenne du moral économique dans le bloc euro a pour sa part plongé pour juillet à sa valeur la plus faible des 34 mois écoulés, avec de fortes chutes du moral en Espagne, en Allemagne et en France.
Au Royaume-Uni, une étude officielle avait fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis 18 mois, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés, mettant en relief les angoisses d'affaiblissement de l'économie.
La banque centrale britannique a donc révélé que le premier était tombé de 50 544 en mai vers 44 192, du jamais vu depuis décembre 2010, et bien plus bas que les 49 000 déjà craints par les analystes.
Il avait déjà été souligné la semaine passée que l'économie nationale avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
La Banque d'Angleterre ne devrait quand à elle pas annoncer de changements majeurs lors de la rencontre de ses décideurs prévue jeudi.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de mercredi étaient aussi surveillées de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y donnner des signes indiquant une série d'injections de liquidités supplémentaires.
La devise de la Grande-Bretagne gardait par contre l'avantage sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.27% pour tomber à 0.7798.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer dans l'après-midi Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.