Investing.com - Le dollar U.S. était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les observateurs guettant avidement une série de recontres au sommet au sein de la zone euro, avec l'espoir grandissant de nouvelles initiatives dans la lutte contre le problème du surendettement régional.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.5% pour grimper à 1.2406.
La monnaie unique s'est en effet hissée vers un sommet des deux semaines écoulées après que Jörg Asmussen, membre allemand du conseil directeur de la BCE, ait déclaré ce matin qu'il soutiendrait la proposition d'achat de bons du trésor de Mario Draghi, président de celle-ci, et ce malgré les avertissements de la Bundesbank.
Cette dernière a en effet rappelé une fois de plus hier lors de son bulletin mensuel qu'elle était opposée à des acquisitions "illimitées" de ce type.
L'hypothèse selon laquelle la BCE compterait établir en septembre des limites aux coûts des emprunts de la région a toutefois été démentie lundi par celle-ci, qui a du coup déclaré "absolument trompeurs" les articles rapportant des décisions n'ayant pas encore été prises.
La monnaie unique a également trouvé du réconfort avec l'émission espagnole de 3.53 milliards d'euros d'obligations sur 12 mois, à un taux moyen de 3.07%, contre 3.91% auparavant.
Madrid a aussi adjugé pour 982 millions d'euros de dettes à 18 mois à 3.33%, au lieu des 4.24% des enchères précédentes.
Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, était d'autre part attendu en Grèce mercredi afin de discuter d'une éventuelle extension du programme de réformes fiscales nationales.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.35% pour se hisser à 1.5765.
Des chiffres officiels avaient auparavant signalé que le solde des emprunts public avait dégagé un surplus de 1.8 milliards de GBP pour juillet, au lieu du déficit de 12.2 milliards précédent.
Les experts avaient pourtant espéré un excédent de 2.5 milliards pour la période considérée.
Il a d'autre part à peine subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 79.41, mais nettement plus fortement celle du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.53% pour tomber à 0.9678.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.26% pour aller vers 0.9858, l'AUD/USD raflant 0.56% pour monter à 1.0504 et le NZD/USD engrangeant 0.59% pour culminer à 0.8135.
Le compte-rendu de la réunion d'août publié en début de matinée par la Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant souligné que ses décideurs n'avaient pas évoqué l'idée d'une baisse de ses taux, étant donné que la croissance de l'économie nationale dépassait des perspectives mondiales "fragilisées".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39% pour se situer à 82.19.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs pour aujourd'hui, et le volume des transactions faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.5% pour grimper à 1.2406.
La monnaie unique s'est en effet hissée vers un sommet des deux semaines écoulées après que Jörg Asmussen, membre allemand du conseil directeur de la BCE, ait déclaré ce matin qu'il soutiendrait la proposition d'achat de bons du trésor de Mario Draghi, président de celle-ci, et ce malgré les avertissements de la Bundesbank.
Cette dernière a en effet rappelé une fois de plus hier lors de son bulletin mensuel qu'elle était opposée à des acquisitions "illimitées" de ce type.
L'hypothèse selon laquelle la BCE compterait établir en septembre des limites aux coûts des emprunts de la région a toutefois été démentie lundi par celle-ci, qui a du coup déclaré "absolument trompeurs" les articles rapportant des décisions n'ayant pas encore été prises.
La monnaie unique a également trouvé du réconfort avec l'émission espagnole de 3.53 milliards d'euros d'obligations sur 12 mois, à un taux moyen de 3.07%, contre 3.91% auparavant.
Madrid a aussi adjugé pour 982 millions d'euros de dettes à 18 mois à 3.33%, au lieu des 4.24% des enchères précédentes.
Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, était d'autre part attendu en Grèce mercredi afin de discuter d'une éventuelle extension du programme de réformes fiscales nationales.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.35% pour se hisser à 1.5765.
Des chiffres officiels avaient auparavant signalé que le solde des emprunts public avait dégagé un surplus de 1.8 milliards de GBP pour juillet, au lieu du déficit de 12.2 milliards précédent.
Les experts avaient pourtant espéré un excédent de 2.5 milliards pour la période considérée.
Il a d'autre part à peine subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 79.41, mais nettement plus fortement celle du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.53% pour tomber à 0.9678.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.26% pour aller vers 0.9858, l'AUD/USD raflant 0.56% pour monter à 1.0504 et le NZD/USD engrangeant 0.59% pour culminer à 0.8135.
Le compte-rendu de la réunion d'août publié en début de matinée par la Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant souligné que ses décideurs n'avaient pas évoqué l'idée d'une baisse de ses taux, étant donné que la croissance de l'économie nationale dépassait des perspectives mondiales "fragilisées".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39% pour se situer à 82.19.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs pour aujourd'hui, et le volume des transactions faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.