Investing.com - L'euro a tenu son rang face à la plupart de ses concurrents ce lundi, à l'approche pour la fin de semaine du discours crucial de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, à Jackson Hole, dans le Wyoming, en raison des bruits portant sur sa propension à procéder à des encouragements supplémentaires.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. a ainsi fléchi devant lui avec un couple EUR/USD gagnant 0.13% pour se hisser à 1.2528.
Il avait auparavant été montré que l'enthousiasme dans les affaires allemandes avait subi en août un quatrième recul mensuel d'affilée, ravivant du même coup les craintes concernant les conséquences du serpent de mer du surendettement de la région sur sa plus grosse économie.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet fait savoir que son baromètre de l'humeur des entreprises avait reculé de 0.9 points pour se retrouver à 102.3 après ajustement saisonnier pour août, au lieu des 103.2 revus vers le bas précédents, alors que les experts espéraient un revers limité à 102.6.
L'indice de l'évaluation de la situation actuelle a toutefois moins diminué qu'il n'avait été redouté, reculant de 111.6 vers 111.2, au lieu des 110.8 envisagés.
La monnaie unique gardait la tête haute grâce à l'espérance pour septembre d'initiatives de stabilisation des marchés obligataires européens de la part de la BCE lors de sa prochaine réunion.
La livre sterling lui a aussi cédé qquelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.1% pour grimper à 0.7921.
Le yen a d'autre part laissée s'approcher d'un pic de six semaines, l'EUR/JPY prenant 0.17% pour s'élever à 98.57, mais le franc suisse a bien résisté à sa pression, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.02% pour se situer à 1.201.
Ses homologues australienne, et néo-zélandaise ont égalment subi sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD avançant de 0.17% pour monter à 1.2045, l'EUR/CAD laissant échapper 0.11% pour chuter à 1.2401 et l'EUR/NZD rognant 0.13% pour culminer à 1.544.
Les volumes échangés semblaient malgré tout devoir demeurer limités pour aujourd'hui, les places britanniques étant closes pour cause de jour férié.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. a ainsi fléchi devant lui avec un couple EUR/USD gagnant 0.13% pour se hisser à 1.2528.
Il avait auparavant été montré que l'enthousiasme dans les affaires allemandes avait subi en août un quatrième recul mensuel d'affilée, ravivant du même coup les craintes concernant les conséquences du serpent de mer du surendettement de la région sur sa plus grosse économie.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet fait savoir que son baromètre de l'humeur des entreprises avait reculé de 0.9 points pour se retrouver à 102.3 après ajustement saisonnier pour août, au lieu des 103.2 revus vers le bas précédents, alors que les experts espéraient un revers limité à 102.6.
L'indice de l'évaluation de la situation actuelle a toutefois moins diminué qu'il n'avait été redouté, reculant de 111.6 vers 111.2, au lieu des 110.8 envisagés.
La monnaie unique gardait la tête haute grâce à l'espérance pour septembre d'initiatives de stabilisation des marchés obligataires européens de la part de la BCE lors de sa prochaine réunion.
La livre sterling lui a aussi cédé qquelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.1% pour grimper à 0.7921.
Le yen a d'autre part laissée s'approcher d'un pic de six semaines, l'EUR/JPY prenant 0.17% pour s'élever à 98.57, mais le franc suisse a bien résisté à sa pression, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.02% pour se situer à 1.201.
Ses homologues australienne, et néo-zélandaise ont égalment subi sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD avançant de 0.17% pour monter à 1.2045, l'EUR/CAD laissant échapper 0.11% pour chuter à 1.2401 et l'EUR/NZD rognant 0.13% pour culminer à 1.544.
Les volumes échangés semblaient malgré tout devoir demeurer limités pour aujourd'hui, les places britanniques étant closes pour cause de jour férié.