Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a terminé la séance de jeudi sur un rebond de 1,43%, soutenu par le recul des inscriptions au chômage aux Etats-Unis la semaine dernière et les espoirs de voir l'Espagne bientôt formuler une demande d'aide financière.
Les inscriptions au chômage ont diminué de 30.000 à 339.00 aux Etats-Unis la semaine dernière, leur plus bas niveau depuis la mi-février 2008, contre une hausse à 370.000 anticipée par le consensus Thomson Reuters.
En Europe, les principaux instituts économiques allemands ont revu à la baisse leurs prévisions de croissance à 0,8% pour cette année et à 1% en 2013, contre 0,9% et 2% annoncés respectivement en avril.
Les prix à la consommation sont restés stables en Allemagne le mois dernier et ont augmenté de 2% sur un an. En France, ils ont diminué de 0,3% en septembre et augmenté de 1,9% sur un an.
L'Espagne restait, par ailleurs, au centre de l'attention après que Standard & Poor's a annoncé mercredi soir avoir abaissé de deux crans la note souveraine de l'Espagne, à "BBB-", la ramenant ainsi au dernier niveau avant la catégorie spéculative, citant notamment un "aggravation de la récession qui limite les options du gouvernement".
Ce déclassement est pourtant considéré comme positif par une partie des investisseurs dans la mesure où il devrait pousser Madrid à solliciter une aide face à la montée des taux d’intérêt, ce qui lui permettrait de bénéficier du programme OMT de la Banque centrale européenne.
Du côté des valeurs, Carrefour restait en forte hausse et engrangeait 3,88% en fin de séance, soutenu par la légère amélioration de ses ventes et la hausse de 2,1% de son chiffre d’affaires à 22,6 milliards d’euros au troisième trimestre.
Egalement en forte progression, le groupe LVMH s'octroyait 4,08% à la clôture du CAC 40, dans le sillage de son concurrent britannique Burberry, qui a fait état d’une légère amélioration de ses ventes depuis l'avertissement du mois dernier. Pour sa part, PPR avançait de -%.
Les valeurs financières terminaient elles aussi dans le vert. En fin de séance, BNP Paribas grimpait de 2,84%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole progressaient de 4,93% et de 4,22% respectivement.
Enfin, EDF et Veolia Environnement ont effacé leurs pertes de la journée et terminé en hausse de 0,12% et de 2,21% respectivement, après que les deux groupes ont annoncé le départ du PDG d'EDF, Henri Proglio, du conseil d’administration de Veolia, confirmant ainsi les informations publiées par Les Echos.
Proglio aurait par ailleurs demandé qu'EDF conserve un poste d'administrateur au sein du conseil au nom de la participation d’environ 4% de l'électricien dans le capital de Veolia.
A l'inverse, EADS reculait de 0,87% à la fermeture du marché, suite à l’arrêt de discussions de fusion avec BAE System. Selon le président exécutif du groupe, Tom Enders, EADS va devoir revoir sa stratégie, notamment dans le domaine de la défense.
Lagardère, qui détient 7,5% du capital d’EADS, a annoncé avoir pris acte de l'abandon du projet et à renouvelé sa confiance dans la direction du groupe européen, précisait le journal Les Echos.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'appréciait de 1,26%, le DAX progressait de 1,04% et le Footsie 100 s'octroyait 0,90%.
Autre information de la journée, l'Italie a émis pour 3,75 milliards d’euros d’obligations à trois ans, soit le haut de la fourchette visée, au rendement moyen de 2,86%, le plus élevé depuis la mi-juillet, contre 2,75% en septembre.
Sur le marché secondaire, le rendement de l'emprunt italien à dix est stable à 5,03%, tandis que celui de l'emprunt espagnol de même échéance se tend légèrement à 5,82%.
Les inscriptions au chômage ont diminué de 30.000 à 339.00 aux Etats-Unis la semaine dernière, leur plus bas niveau depuis la mi-février 2008, contre une hausse à 370.000 anticipée par le consensus Thomson Reuters.
En Europe, les principaux instituts économiques allemands ont revu à la baisse leurs prévisions de croissance à 0,8% pour cette année et à 1% en 2013, contre 0,9% et 2% annoncés respectivement en avril.
Les prix à la consommation sont restés stables en Allemagne le mois dernier et ont augmenté de 2% sur un an. En France, ils ont diminué de 0,3% en septembre et augmenté de 1,9% sur un an.
L'Espagne restait, par ailleurs, au centre de l'attention après que Standard & Poor's a annoncé mercredi soir avoir abaissé de deux crans la note souveraine de l'Espagne, à "BBB-", la ramenant ainsi au dernier niveau avant la catégorie spéculative, citant notamment un "aggravation de la récession qui limite les options du gouvernement".
Ce déclassement est pourtant considéré comme positif par une partie des investisseurs dans la mesure où il devrait pousser Madrid à solliciter une aide face à la montée des taux d’intérêt, ce qui lui permettrait de bénéficier du programme OMT de la Banque centrale européenne.
Du côté des valeurs, Carrefour restait en forte hausse et engrangeait 3,88% en fin de séance, soutenu par la légère amélioration de ses ventes et la hausse de 2,1% de son chiffre d’affaires à 22,6 milliards d’euros au troisième trimestre.
Egalement en forte progression, le groupe LVMH s'octroyait 4,08% à la clôture du CAC 40, dans le sillage de son concurrent britannique Burberry, qui a fait état d’une légère amélioration de ses ventes depuis l'avertissement du mois dernier. Pour sa part, PPR avançait de -%.
Les valeurs financières terminaient elles aussi dans le vert. En fin de séance, BNP Paribas grimpait de 2,84%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole progressaient de 4,93% et de 4,22% respectivement.
Enfin, EDF et Veolia Environnement ont effacé leurs pertes de la journée et terminé en hausse de 0,12% et de 2,21% respectivement, après que les deux groupes ont annoncé le départ du PDG d'EDF, Henri Proglio, du conseil d’administration de Veolia, confirmant ainsi les informations publiées par Les Echos.
Proglio aurait par ailleurs demandé qu'EDF conserve un poste d'administrateur au sein du conseil au nom de la participation d’environ 4% de l'électricien dans le capital de Veolia.
A l'inverse, EADS reculait de 0,87% à la fermeture du marché, suite à l’arrêt de discussions de fusion avec BAE System. Selon le président exécutif du groupe, Tom Enders, EADS va devoir revoir sa stratégie, notamment dans le domaine de la défense.
Lagardère, qui détient 7,5% du capital d’EADS, a annoncé avoir pris acte de l'abandon du projet et à renouvelé sa confiance dans la direction du groupe européen, précisait le journal Les Echos.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'appréciait de 1,26%, le DAX progressait de 1,04% et le Footsie 100 s'octroyait 0,90%.
Autre information de la journée, l'Italie a émis pour 3,75 milliards d’euros d’obligations à trois ans, soit le haut de la fourchette visée, au rendement moyen de 2,86%, le plus élevé depuis la mi-juillet, contre 2,75% en septembre.
Sur le marché secondaire, le rendement de l'emprunt italien à dix est stable à 5,03%, tandis que celui de l'emprunt espagnol de même échéance se tend légèrement à 5,82%.