Investing.com - Les bourses européennes étaient encore sonnées ce lundi après-midi, la prudence règnant en maîtresse à la veille des élections américaines, les performances économiques décevantes de l'Espagne faisant réémerger de serpent de mer de sa dette.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.99%, le CAC 40 français de 0.96%, et le DAX 30 allemand de 0.56%.
L'atmosphère s'est ainsi assombrie après que le ministère de l'emploi espagnol ait constaté 128 200 demandeurs d'emploi supplémentaires en octobre, au lieu des 90 500 déjà redoutés.
Ils avaient déjà été 79 600 le mois précédent.
La nervosité était aussi de mise dans l'expectative du scrutin déterminant le prochain président des Etats-Unis, qui aura lieu mardi, les sondages indiquant que le président sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney se trouveraient au coude-à-coude.
La finance restait largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectiveùent échapper 0.49 et 1.65%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 1.32 et 0.92%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo glissant de 1.48 et 1.98%, les espagnols BBVA et Banco Santander n'étant pas en reste avec 2.18 et 1.78%.
CGGVeritas suivait le mouvement de 2.49% suite à l'aveu de seulement 48 millions d'USD de bénéfices pour le troisième trimestre au lieu de 68 escomptés.
Siemens était aussi en queue de peloton, fléchissant de 0.29% après que le quotidien Financial Times Deutschland ait fait savoir que la compagnie pourrait devoir subir 250 millions d'euros de dévalorisations supplémentaires afin de se tirer du pétrin de sa branche solaire.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.62%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tandis qu'une étude montrait que le secteur tertiaire britannique avait connu en octobre son expantion la plus lente en près de deux ans.
Barclays a du coup fondu de &.42%, et la Royal Bank of Scotland de 1.39%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings s'effondraient de 1.48 et 1.52%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas mieux lotis avec 2.02 et 1.36%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys se voyant contraints de sauver les meubles après des faux pas de 0.08 et 2.18%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Ryanair bondissant de 6.43% après avoir enregistré une explosion de 23% de ses profits nets au second trimestre fiscal, lesquels se situaient ainsi à 496.8 millions d'euros, alors qu'une réduction entre 400 et 440 millions était envisagée.
Les perspectives des marchés américains étaient par ailleurs modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur une baisse de 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.01%.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée avec ses informations au sujet de l'évolution de l'activité dans le domaine des services.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.99%, le CAC 40 français de 0.96%, et le DAX 30 allemand de 0.56%.
L'atmosphère s'est ainsi assombrie après que le ministère de l'emploi espagnol ait constaté 128 200 demandeurs d'emploi supplémentaires en octobre, au lieu des 90 500 déjà redoutés.
Ils avaient déjà été 79 600 le mois précédent.
La nervosité était aussi de mise dans l'expectative du scrutin déterminant le prochain président des Etats-Unis, qui aura lieu mardi, les sondages indiquant que le président sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney se trouveraient au coude-à-coude.
La finance restait largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectiveùent échapper 0.49 et 1.65%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 1.32 et 0.92%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo glissant de 1.48 et 1.98%, les espagnols BBVA et Banco Santander n'étant pas en reste avec 2.18 et 1.78%.
CGGVeritas suivait le mouvement de 2.49% suite à l'aveu de seulement 48 millions d'USD de bénéfices pour le troisième trimestre au lieu de 68 escomptés.
Siemens était aussi en queue de peloton, fléchissant de 0.29% après que le quotidien Financial Times Deutschland ait fait savoir que la compagnie pourrait devoir subir 250 millions d'euros de dévalorisations supplémentaires afin de se tirer du pétrin de sa branche solaire.
A Londres, le FTSE 100 a reculé de 0.62%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tandis qu'une étude montrait que le secteur tertiaire britannique avait connu en octobre son expantion la plus lente en près de deux ans.
Barclays a du coup fondu de &.42%, et la Royal Bank of Scotland de 1.39%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings s'effondraient de 1.48 et 1.52%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas mieux lotis avec 2.02 et 1.36%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys se voyant contraints de sauver les meubles après des faux pas de 0.08 et 2.18%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Ryanair bondissant de 6.43% après avoir enregistré une explosion de 23% de ses profits nets au second trimestre fiscal, lesquels se situaient ainsi à 496.8 millions d'euros, alors qu'une réduction entre 400 et 440 millions était envisagée.
Les perspectives des marchés américains étaient par ailleurs modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur une baisse de 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.01%.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée avec ses informations au sujet de l'évolution de l'activité dans le domaine des services.