Investing.com - Les bourses européennes ont connu un frémissement ce mardi matin, alors que tous les yeux se tournaient vers les élections des Etats-Unis, et que l'ombre de la dette grecque continuait à planer.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.17%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.05%.
La circonspection était de rigueur à l'approche du scrutin présidentiel, les sondages indiquant que le candidat sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney se trouveraient au coude-à-coude.
La nervosité ambiante était palpable alors que les représentants de la Grèce s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, avait pour sa part déclaré hier que la zone euro semblait s'acheminer vers une décision à ce sujet lors de la réunion de l'Eurogroupe de la semaine prochaine.
La finance était en forme, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 0.28 et 0.32%, imités par les allemands Deutsche BAnk et Commerzbank avec 0.06 et 1.19%.
Mais il n'en était pas de même en Espagne, Banco Santander et BBVA laissant échapper 0.01 et 0.34%.
Adecco, première agence d'intérim au monde, a pour sa part gagné 0.92% après avoir dépassé ses estimations de rentrées.
A Londres, le FTSE 100 a pris 0.2%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par certains homologues continentaux.
HSBC Holdings a grignoté 0.01%, et la Royal Bank of Scotland 0.47%, tandis que Barclays s'élevait de 0.56% et que Lloyds Banking s'envolait de 1.33%, après avoir pourtant avoué que les coûts d'indemnisation ses clients ayant souscrit des assurances sur les prêts inappropriées avaient augmenté d'un milliard de GBP.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, le mastodonte minier Rio Tinto engrangeant 0.26% et le cuivrier Xstrata 0.42%.
ARM Holdings a connu une poussée de fièvre de 3.88% alors qu'il se disait qu'Apple serait en train d'étudier comment utiliser ses microprocesseurs afin de remplacer dans ses produits ceux fournis par Intel Corp.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un faux pas de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 aussi.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son indice des directeurs des achats du secteur tertiaire espagnol était remonté de 40.2 vers 41.2 pour octobre.
Les experts pensaient pourtant le voir stagner pour la période considérée.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume des commandes auprès des usines qu'elle aura mesuré.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.17%, le CAC 40 français de 0.22%, et le DAX 30 allemand de 0.05%.
La circonspection était de rigueur à l'approche du scrutin présidentiel, les sondages indiquant que le candidat sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney se trouveraient au coude-à-coude.
La nervosité ambiante était palpable alors que les représentants de la Grèce s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, avait pour sa part déclaré hier que la zone euro semblait s'acheminer vers une décision à ce sujet lors de la réunion de l'Eurogroupe de la semaine prochaine.
La finance était en forme, les français BNP Paribas et Société Générale avançant respectivement de 0.28 et 0.32%, imités par les allemands Deutsche BAnk et Commerzbank avec 0.06 et 1.19%.
Mais il n'en était pas de même en Espagne, Banco Santander et BBVA laissant échapper 0.01 et 0.34%.
Adecco, première agence d'intérim au monde, a pour sa part gagné 0.92% après avoir dépassé ses estimations de rentrées.
A Londres, le FTSE 100 a pris 0.2%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par certains homologues continentaux.
HSBC Holdings a grignoté 0.01%, et la Royal Bank of Scotland 0.47%, tandis que Barclays s'élevait de 0.56% et que Lloyds Banking s'envolait de 1.33%, après avoir pourtant avoué que les coûts d'indemnisation ses clients ayant souscrit des assurances sur les prêts inappropriées avaient augmenté d'un milliard de GBP.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, le mastodonte minier Rio Tinto engrangeant 0.26% et le cuivrier Xstrata 0.42%.
ARM Holdings a connu une poussée de fièvre de 3.88% alors qu'il se disait qu'Apple serait en train d'étudier comment utiliser ses microprocesseurs afin de remplacer dans ses produits ceux fournis par Intel Corp.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient un faux pas de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 aussi.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son indice des directeurs des achats du secteur tertiaire espagnol était remonté de 40.2 vers 41.2 pour octobre.
Les experts pensaient pourtant le voir stagner pour la période considérée.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume des commandes auprès des usines qu'elle aura mesuré.