Investing.com - Le dollar U.S. était sur la défensive, circonscrit dans une fourchette étroite face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les opérateurs machant sur des oeufs à l'orée de l'ouverture cet après-midi des urnes américaines.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.04% pour grimper à 1.28.
La monnaie unique était en effet toujours sur la sellette alors que les représentants de la Grèce s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0.01% pour se hisser à 1.598.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet révélé que la production manufacturée nationale avait frémi en septembre de 0.1%, au lieu des 0.3% espérés, tandis que celle du secteur secondaire chutait par contre de 1.7% dans le même temps, au lieu des 0.6% déjà redoutés et des 0.5% constatés le mois précédent.
Ces contre-performances ont du coup ravivé l'angoisse que la relance de l'économie du pays ne s'étouffe d'ici la fin de l'année, alors que les résultats d'octobre montraient qu'elle venait à peine de sortir de récession.
Il a d'autre part légèrement subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.03% pour se retrouver à 80.26 et l'USD/CHF glissant de 0.03% pour tomber à 0.943.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été plus largement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.é5% pour aller vers 0.9938, l'AUD/USD raflant 0.64% pour monter à 1.0431 et le NZD/USD engrangeant 0.22% pour culminer à 0.8271.
Celle de l'Australie avait repris du poil de la bête après que la Réserve Bancaire d'Australie ait décidé à l'aube de maintenir son taux d'intérêt directeur à 3.25%, alors qu'un abaissement de 0.25 points avait été envisagé par les experts.
La banque centrale a ainsi déclaré que sa prise de cap précédente avait été appropriée étant donné que les perspectives d'inflation semblaient correspondre aux objectifs et que la croissance était proche des estimations, ajoutant cependant que les perspectives internationales étaient "plus nuancées" qu'il y a quelques mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.07% pour se situer à 80.78.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume des commandes auprès des usines qu'elle aura mesuré.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.04% pour grimper à 1.28.
La monnaie unique était en effet toujours sur la sellette alors que les représentants de la Grèce s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0.01% pour se hisser à 1.598.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet révélé que la production manufacturée nationale avait frémi en septembre de 0.1%, au lieu des 0.3% espérés, tandis que celle du secteur secondaire chutait par contre de 1.7% dans le même temps, au lieu des 0.6% déjà redoutés et des 0.5% constatés le mois précédent.
Ces contre-performances ont du coup ravivé l'angoisse que la relance de l'économie du pays ne s'étouffe d'ici la fin de l'année, alors que les résultats d'octobre montraient qu'elle venait à peine de sortir de récession.
Il a d'autre part légèrement subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.03% pour se retrouver à 80.26 et l'USD/CHF glissant de 0.03% pour tomber à 0.943.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été plus largement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.é5% pour aller vers 0.9938, l'AUD/USD raflant 0.64% pour monter à 1.0431 et le NZD/USD engrangeant 0.22% pour culminer à 0.8271.
Celle de l'Australie avait repris du poil de la bête après que la Réserve Bancaire d'Australie ait décidé à l'aube de maintenir son taux d'intérêt directeur à 3.25%, alors qu'un abaissement de 0.25 points avait été envisagé par les experts.
La banque centrale a ainsi déclaré que sa prise de cap précédente avait été appropriée étant donné que les perspectives d'inflation semblaient correspondre aux objectifs et que la croissance était proche des estimations, ajoutant cependant que les perspectives internationales étaient "plus nuancées" qu'il y a quelques mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.07% pour se situer à 80.78.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume des commandes auprès des usines qu'elle aura mesuré.