Investing.com - Le dollar U.S. est resté dans des ornières de plusieurs mois face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, en raison de l'espoir d'un accord dissipant l'ombre pesant sur le budget américain, tandis que le yen se trouvait encore en difficulté dans l'expectative de nouveaux accommodements de la part de la Banque du Japon.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.54% pour grimper à 1.3301, son plus haut niveau depuis début avril.
Le moral restait bon, dans l'idée que les élus américains trouvent un accord visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique et d'entraîner le reste du monde dans sa chute.
La zone euro a quand à elle constaté pour ce mois-ci une poursuite de l'amélioration de la confiance dans les affaires allemandes malgré des perspectives régionales peu réjouissantes.
Le baromètre établi par l'institut Ifo pour la recherche économique est en effet monté de 101.4 jusqu'à 102.4, au lieu des 102 espérés par les experts.
Il n'en était pas de même contre la devise nippone, l'USD/JPY engrangeant 0.29% pour se retrouver à 84.44, un pic de 20 mois.
Celle-ci restait sur la sellette dans l'attente d'accommodements supplémentaires suite à la victoire du parti libéral démocrate aux élections de dimanche.
Il avait été signalé à l'aube que le déficit budgétaire annuel du commerce extérieur du pays s'était monté à 953.4 milliards de JPY en novembre, sa troisième plus forte valeur historique, constituant son cinquième mois négatif d'affilée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.29% pour se hisser à 1.6297, un sommet de trois mois.
Cette dernière a repris des couleurs après que le procès-verbal du dernier conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre ait montré qu'un seul de ses membres avait été en faveur d'accommodements supplémentaires ce mois-ci.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.42% pour tomber à 0.9091, aux abords de son pire niveau de sept mois et demi.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs pris le dessus par rapport à ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.&% pour aller vers 0.9866, l'AUD/USD dérapant de 0.31% pour descendre à 1.0501 et le NZD/USD laissant échapper 0.52% pour toucher le fond à 0.8369.
Les valeurs dépendantes des matières premières se sont retrouvées en difficulté, les signes laissant espérer une résolution de la crise de la dette européenne encourageant le moral et stimulant la désirabilité de la monnaie unique.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.4% pour se situer à 79.05, sa valeur la plus faible des deux mois écoulés.
Les autorités américaines comptaient quand à elles conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur inventaire des réserves pétrolières.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.54% pour grimper à 1.3301, son plus haut niveau depuis début avril.
Le moral restait bon, dans l'idée que les élus américains trouvent un accord visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique et d'entraîner le reste du monde dans sa chute.
La zone euro a quand à elle constaté pour ce mois-ci une poursuite de l'amélioration de la confiance dans les affaires allemandes malgré des perspectives régionales peu réjouissantes.
Le baromètre établi par l'institut Ifo pour la recherche économique est en effet monté de 101.4 jusqu'à 102.4, au lieu des 102 espérés par les experts.
Il n'en était pas de même contre la devise nippone, l'USD/JPY engrangeant 0.29% pour se retrouver à 84.44, un pic de 20 mois.
Celle-ci restait sur la sellette dans l'attente d'accommodements supplémentaires suite à la victoire du parti libéral démocrate aux élections de dimanche.
Il avait été signalé à l'aube que le déficit budgétaire annuel du commerce extérieur du pays s'était monté à 953.4 milliards de JPY en novembre, sa troisième plus forte valeur historique, constituant son cinquième mois négatif d'affilée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.29% pour se hisser à 1.6297, un sommet de trois mois.
Cette dernière a repris des couleurs après que le procès-verbal du dernier conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre ait montré qu'un seul de ses membres avait été en faveur d'accommodements supplémentaires ce mois-ci.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.42% pour tomber à 0.9091, aux abords de son pire niveau de sept mois et demi.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs pris le dessus par rapport à ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.&% pour aller vers 0.9866, l'AUD/USD dérapant de 0.31% pour descendre à 1.0501 et le NZD/USD laissant échapper 0.52% pour toucher le fond à 0.8369.
Les valeurs dépendantes des matières premières se sont retrouvées en difficulté, les signes laissant espérer une résolution de la crise de la dette européenne encourageant le moral et stimulant la désirabilité de la monnaie unique.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.4% pour se situer à 79.05, sa valeur la plus faible des deux mois écoulés.
Les autorités américaines comptaient quand à elles conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de constructions, sans oublier leur inventaire des réserves pétrolières.