Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi après-midi, dans l'expectative des résultats manufacturiers des Etats-Unis, bien que les incertitudes entourant la zone euro nuise à la confiance des investisseurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
L'ambiance subissait d'autre part toujours l'angoisse d'un retour du spectre de la crise de la dette en raison d'incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, croulait ainsi sous les appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles lui et les hauts responsables de son Parti Populaire auraient bénéficié de pots-de-vin, tandis que le doute se profilait concernant le résultat des prochaines élections italiennes, le sulfureux ancien président du conseil Silvio Berlusconi semblant prendre de l'ampleur dans les sondages.
La technologie était sous les feux de la rampe, IBM ayant déclaré son intention d'attaquer ses concurrents Oracle et Hewlett-Packard en proposant sa gamme de serveurs et de solutions de stockage Power Systems à des prix réduits en cours de mois.
Le conseil d'adinistration de Dell serait quand à lui sur le point de se réunir lundi soir afin de voter au sujet de l'offre de rachat privée s'élevant à 24 milliards d'USD, bondissant du même coup de 1.13% en pré-ouverture.
Facebook, géant des réseaux sociaux, était aussi sur le devant de la scène, en raison des rumeurs de développement d'une application destinées aux intelliphones lui permettant de localiser ses utilisateurs, lui faisant gagner 0.47% avant le lancement deds hostilités.
La finance n'était pas non plus à négliger, Wells Fargo trébuchant de 0.03% après la clôture après que l'agence de presse Bloomberg ait fait savoir que la banque américaine comptait se concentrer sur les fonds de gestion de capitaux du Golfe persique afin de développer sa base de clients au Moyen-Orient.
Yum! Brands faisait bien pire dans le même temps, s'effondrant de 6.79% suite à l'aveu de profits qui devraient être inférieurs aux prévisions, une enquête sur ses fournisseurs de poulets ayant nui à ses ventes en Chine.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Kellogg, Automatic Data, Delphi Automotive et Estée Lauder, dont les proclamatiions étaient attendues avant l'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.02%, le CAC 40 français de 1.05%, le DAX 30 allemand de 0.21% et le FTSE 100 britannique de 0.62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 2.27%, et le Nikkei 225 japonais de 1.9%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté faire connaître dans l'après-midi son indice de l'état des entreprises du tertiaire américaines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
L'ambiance subissait d'autre part toujours l'angoisse d'un retour du spectre de la crise de la dette en raison d'incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, croulait ainsi sous les appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles lui et les hauts responsables de son Parti Populaire auraient bénéficié de pots-de-vin, tandis que le doute se profilait concernant le résultat des prochaines élections italiennes, le sulfureux ancien président du conseil Silvio Berlusconi semblant prendre de l'ampleur dans les sondages.
La technologie était sous les feux de la rampe, IBM ayant déclaré son intention d'attaquer ses concurrents Oracle et Hewlett-Packard en proposant sa gamme de serveurs et de solutions de stockage Power Systems à des prix réduits en cours de mois.
Le conseil d'adinistration de Dell serait quand à lui sur le point de se réunir lundi soir afin de voter au sujet de l'offre de rachat privée s'élevant à 24 milliards d'USD, bondissant du même coup de 1.13% en pré-ouverture.
Facebook, géant des réseaux sociaux, était aussi sur le devant de la scène, en raison des rumeurs de développement d'une application destinées aux intelliphones lui permettant de localiser ses utilisateurs, lui faisant gagner 0.47% avant le lancement deds hostilités.
La finance n'était pas non plus à négliger, Wells Fargo trébuchant de 0.03% après la clôture après que l'agence de presse Bloomberg ait fait savoir que la banque américaine comptait se concentrer sur les fonds de gestion de capitaux du Golfe persique afin de développer sa base de clients au Moyen-Orient.
Yum! Brands faisait bien pire dans le même temps, s'effondrant de 6.79% suite à l'aveu de profits qui devraient être inférieurs aux prévisions, une enquête sur ses fournisseurs de poulets ayant nui à ses ventes en Chine.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Kellogg, Automatic Data, Delphi Automotive et Estée Lauder, dont les proclamatiions étaient attendues avant l'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.02%, le CAC 40 français de 1.05%, le DAX 30 allemand de 0.21% et le FTSE 100 britannique de 0.62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 2.27%, et le Nikkei 225 japonais de 1.9%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté faire connaître dans l'après-midi son indice de l'état des entreprises du tertiaire américaines.