Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture modéréent positive ce mercredi après-midi, l'attention se reportant sur la rencontre du G20 de la fin de semaine suite au discours tenu hier par le chef de l'état.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a en effet dévoilé le programme de son second mandat, et tenté de voir plus loin que les querelles fiscales partisanes comme celles ayant émaillé le précédent.
La prudence restait en effet de mise, après que le G7 ait confirmé son engagement à laisser le marché des changes évoluer librement, et sans établir d'objectifs de taux.
Ces propos s'inscrivaient dans le contexte de l'orée de la réunion des ministres des finances des 20 pays les plus développés de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
La sphère d'Internet était sous les feux de la rampe, après que Marissa Mayer, directrice générale de Yahoo, ait déploré que son partenariat avec Microsoft dans le cadre des moteurs de recherches n'ait pas rempli ses promesses d'appréciation d'actions ni d'augmentation de chiffre d'affaires.
Clearwirz, fournisseur d'accès sans fil convoité à la fois par Sprint Nextel et Dish Network, a quand à lui avoué hier que les capacités financières du premier lui seraient utiles pour se maintenir à flot avant jusqu'à la fin de l'année.
Il a du coup dégringolé de 0.63% après la clôture.
Parmi les autres faits marquants, l'oprateur de réseaux câblés Comcast aurait acquis le même jour le contrôle total de NBC Universal pour 16.7 milliards d'USD, prolongeant ainsi la liste des accords l'ayant mené depuis Tupelo, dans l'état du Mississippi, jusqu'au Rockefeller Center de Manhattan.
Il a du coup bondi de 7.43% après les dernières transactions.
General Electric, qui lui a ainsi vendu le reste de ses actions dans ce poids lourd médiatique au cours de cette opération, le suivait du coup de 3.19% en pré-ouverture.
Western Union, numéro 1 mondial du transfert d'argent, a par contre chuté de 4.04% après la fermeture suite à l'aveu de la prévision d'une baisse de ses rentrées "d'un pourcentage à un petit chiffre" pour 2013.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 grignotant 0.06%, suivi du CAC 40 français avec 0.1%, le DAX 30 allemand empochant 0.39% et le FTSE 100 britannique se rétractant de 0.05%.
En fin de séance asiatique, le Nikkei 225 japonais dérapait de 1.04%, le Hang Seng de Hong Kong demeurant inactif en raison des festivités du nouvel an lunaire.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des particuliers, ainsi qu'avec des informations sur les prix à l'importation, les stocks des entreprises et les réserves pétrolières nationales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a en effet dévoilé le programme de son second mandat, et tenté de voir plus loin que les querelles fiscales partisanes comme celles ayant émaillé le précédent.
La prudence restait en effet de mise, après que le G7 ait confirmé son engagement à laisser le marché des changes évoluer librement, et sans établir d'objectifs de taux.
Ces propos s'inscrivaient dans le contexte de l'orée de la réunion des ministres des finances des 20 pays les plus développés de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
La sphère d'Internet était sous les feux de la rampe, après que Marissa Mayer, directrice générale de Yahoo, ait déploré que son partenariat avec Microsoft dans le cadre des moteurs de recherches n'ait pas rempli ses promesses d'appréciation d'actions ni d'augmentation de chiffre d'affaires.
Clearwirz, fournisseur d'accès sans fil convoité à la fois par Sprint Nextel et Dish Network, a quand à lui avoué hier que les capacités financières du premier lui seraient utiles pour se maintenir à flot avant jusqu'à la fin de l'année.
Il a du coup dégringolé de 0.63% après la clôture.
Parmi les autres faits marquants, l'oprateur de réseaux câblés Comcast aurait acquis le même jour le contrôle total de NBC Universal pour 16.7 milliards d'USD, prolongeant ainsi la liste des accords l'ayant mené depuis Tupelo, dans l'état du Mississippi, jusqu'au Rockefeller Center de Manhattan.
Il a du coup bondi de 7.43% après les dernières transactions.
General Electric, qui lui a ainsi vendu le reste de ses actions dans ce poids lourd médiatique au cours de cette opération, le suivait du coup de 3.19% en pré-ouverture.
Western Union, numéro 1 mondial du transfert d'argent, a par contre chuté de 4.04% après la fermeture suite à l'aveu de la prévision d'une baisse de ses rentrées "d'un pourcentage à un petit chiffre" pour 2013.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 grignotant 0.06%, suivi du CAC 40 français avec 0.1%, le DAX 30 allemand empochant 0.39% et le FTSE 100 britannique se rétractant de 0.05%.
En fin de séance asiatique, le Nikkei 225 japonais dérapait de 1.04%, le Hang Seng de Hong Kong demeurant inactif en raison des festivités du nouvel an lunaire.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des particuliers, ainsi qu'avec des informations sur les prix à l'importation, les stocks des entreprises et les réserves pétrolières nationales.