Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture morose ce vendredi après-midi, la confiance demeurant écornée par le spectre de la crise hantant la zone euro, alors que l'attention se reportait sur la rencontre du G20 dont le coup d'envoi était prévu aujourd'hui.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
La bonne humeur s'est en effet dissipée après qu'une étude officielle ait fait savoir que le produit intérieur brut de la zone euro avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
L'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, s'est ainsi rétractée de 0.6% du début octobre à la fin décembre, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, subissant une diminution des exportations et des investissements.
Les produits ménagers étaient sur le devant de la scène, après que Procter & Gamble ait déclaré devoir subir des frais ponctuels se situant entre 200 et 275 millions d'USD après impôts au cours de l'année à vanir en raison de la récente dévaluation de la monnaie vénézuélienne, entraînant des bénéfices inférieurs.
ses parts ont du coup glissé de 0.43% en pré-ouverture.
La télévision ne faisait pas non plus tapisserie, CBS Corp plongeant de 0.82% avant le lancement des hostilités malgré les 6% de progression de ses bénéfices au quatrième trimestre annoncé jeudi, à mettre au crédit des recettes publicitaires dûes aux élections et aux abonnements de ses réseaux câblés.
DirecTV a aussi déploré des difficultés pour cette année dûes à la dépréciation de la devise du Venezuela, ajoutant cependant toujours vouloir acquérir l'opérateur de télécommunications brésilien GVT, mais n'échappant pas à un fléchissement de 0.26% dans le même temps.
AT&T a pour sa part remporté hier un procès fédéral en appel contre des fabriquants d'écrans à cristaux liquides, portant sur des accusations d'entente illégale sur les prix.
Il était aussi à noter qu'Occidental Petroleum, quatrième du secteur aux Etats-Unis, serait en train de chercher un remplaçant à Stephen Chazen, son directeur général, après que celui-ci, âgé de 66 ans, n'ait même pas passé deux ans à sa tête.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Campbell Soup, dont les proclamations étaient bientôt attendues.
Les bourses européennes étaient quand à elles sans direction claire, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.33%, le CAC 40 français grignotant 0.05%, le DAX 30 allemand dérapant de 0.15% et le FTSE 100 britannique arrachant 0.09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait frémi de 0.13%, et le Nikkei 225 japonais dégringolé de 1.18%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec l'état de l'activité manufacturière de la région de New York, ainsi que celui de la production industrielle, alors que l'université du Michigan fournira ses informations préliminaires sur le moral des consommateurs et l'inflation attendue.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
La bonne humeur s'est en effet dissipée après qu'une étude officielle ait fait savoir que le produit intérieur brut de la zone euro avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
L'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, s'est ainsi rétractée de 0.6% du début octobre à la fin décembre, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, subissant une diminution des exportations et des investissements.
Les produits ménagers étaient sur le devant de la scène, après que Procter & Gamble ait déclaré devoir subir des frais ponctuels se situant entre 200 et 275 millions d'USD après impôts au cours de l'année à vanir en raison de la récente dévaluation de la monnaie vénézuélienne, entraînant des bénéfices inférieurs.
ses parts ont du coup glissé de 0.43% en pré-ouverture.
La télévision ne faisait pas non plus tapisserie, CBS Corp plongeant de 0.82% avant le lancement des hostilités malgré les 6% de progression de ses bénéfices au quatrième trimestre annoncé jeudi, à mettre au crédit des recettes publicitaires dûes aux élections et aux abonnements de ses réseaux câblés.
DirecTV a aussi déploré des difficultés pour cette année dûes à la dépréciation de la devise du Venezuela, ajoutant cependant toujours vouloir acquérir l'opérateur de télécommunications brésilien GVT, mais n'échappant pas à un fléchissement de 0.26% dans le même temps.
AT&T a pour sa part remporté hier un procès fédéral en appel contre des fabriquants d'écrans à cristaux liquides, portant sur des accusations d'entente illégale sur les prix.
Il était aussi à noter qu'Occidental Petroleum, quatrième du secteur aux Etats-Unis, serait en train de chercher un remplaçant à Stephen Chazen, son directeur général, après que celui-ci, âgé de 66 ans, n'ait même pas passé deux ans à sa tête.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Campbell Soup, dont les proclamations étaient bientôt attendues.
Les bourses européennes étaient quand à elles sans direction claire, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.33%, le CAC 40 français grignotant 0.05%, le DAX 30 allemand dérapant de 0.15% et le FTSE 100 britannique arrachant 0.09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait frémi de 0.13%, et le Nikkei 225 japonais dégringolé de 1.18%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec l'état de l'activité manufacturière de la région de New York, ainsi que celui de la production industrielle, alors que l'université du Michigan fournira ses informations préliminaires sur le moral des consommateurs et l'inflation attendue.