Investing.com - L'euro conservait l'avantage face au dollar U.S. ce vendredi matin, aux abords d'un pic de six semaines, tandis que l'attention se concentrait sur la réunion imminente des ministres des finances des pays où il a cours, tandis que son adversaire profitait cependant des bons chiffres de l'emploi américain.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3127 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3107, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3044, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,3158, son plafond du 28 février.
La prudence restait de mise alors que les membres de l'Eurogroupe comptaient se retrouver dans l'après-midi à Dublin, afin de discuter de l'éventuelle attribution à l'Irlande et au Portugal d'une extension de leur période de remboursement de leurs plans de sauvetage.
Chypre était probablement aussi au menu, après que son gouvernement ait confirmé hier que le coût de son programme de sauvegarde avait bondi de 17,5 à 23 milliards d'euros.
Le billet vert gardait cependant des couleurs, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré 42.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 6 avril, pour une augmentation hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une diminution de 23.000 pour les amener à 365.000 était redoutée.
Le total de la semaine précédente s'était situé à 388.000, après révision à la hausse des 385.000 préalablement avancés.
Ce résultat a contribué à rassurer sur la santé précaire du marché de l'emploi après que le décompte des salariés hors agriculture de mars ait déçu.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8514.
La zone euro comptait pour sa part faire connaître aujourd'hui le volume de sa production industrielle, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec des informations officielles concernant les ventes au détail, l'inflation des prix à la production, ainsi que l'évaluation préliminaire de la confiance des consommateurs effectuée par l'université du Michigan.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3127 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3107, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3044, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,3158, son plafond du 28 février.
La prudence restait de mise alors que les membres de l'Eurogroupe comptaient se retrouver dans l'après-midi à Dublin, afin de discuter de l'éventuelle attribution à l'Irlande et au Portugal d'une extension de leur période de remboursement de leurs plans de sauvetage.
Chypre était probablement aussi au menu, après que son gouvernement ait confirmé hier que le coût de son programme de sauvegarde avait bondi de 17,5 à 23 milliards d'euros.
Le billet vert gardait cependant des couleurs, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré 42.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 6 avril, pour une augmentation hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une diminution de 23.000 pour les amener à 365.000 était redoutée.
Le total de la semaine précédente s'était situé à 388.000, après révision à la hausse des 385.000 préalablement avancés.
Ce résultat a contribué à rassurer sur la santé précaire du marché de l'emploi après que le décompte des salariés hors agriculture de mars ait déçu.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8514.
La zone euro comptait pour sa part faire connaître aujourd'hui le volume de sa production industrielle, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec des informations officielles concernant les ventes au détail, l'inflation des prix à la production, ainsi que l'évaluation préliminaire de la confiance des consommateurs effectuée par l'université du Michigan.