Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce mercredi matin, à l'approche des chiffres allemands du jour, l'attente d'une réduction des coups de pouce de la banque centrale des Etats-Unis ayant été amplifiée par les bons résultats dévoilés hier.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,98%, le CAC 40 français de 0,95%, et le DAX 30 allemand de 1,02%.
Il a en effet été montré hier que la confiance des consommateurs américains avait grimpé au cours du mois vers son plus haut niveau depuis février 2008.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a en effet vu son baromètre de l'humeur des particuliers passer de 69,0 à 76,2 pour mai, au lieu des 71,0 espérés.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements des Etats-Unis établi par Case-Schiller avait grimpé pour mars de 10,9% d'une année sur l'autre, constituant son plus gros sursaut depuis avril 2006.
Ces grosses performances ont amplifié les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,14%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,35 et 1,79%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,72 et 1,09%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,62 et 0,28%.
Le modiste H&M dégringolait pour sa part de 1,59% après que Goldman Sachs en ait rabaissé l'appréciation depuis la neutralité vers le conseil de vente, estimant que sa rentabilité souffrirait de la migration des consommateurs vers les boutiques en ligne.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,91%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking coulait de 0,91%, et HSBC Holdings de 1,11%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en lanternes rouges avec 1,23 et 1,78%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,77 et 0,63%, leurs rivaux Antofagasta et Evraz faisant encore pire avec 3,29 et 3,75%.
Tout n'était cependant pas désespéré, De La Rue, fournisseur d'équipements de sécurité et de manipulations de liquidités, arrachant 0,76% après avoir pourtant déploré une érosion de ses revenus à 484 millions de GBP annuels, au lieu des 509 millions de GBP attendus.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,40%.
L'Allemagne devait pour sa part fournir aujourd'hui la première évaluation de son évolution des prix à la consommation, ainsi que les variations enregistrées sur son marché de l'emploi.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,98%, le CAC 40 français de 0,95%, et le DAX 30 allemand de 1,02%.
Il a en effet été montré hier que la confiance des consommateurs américains avait grimpé au cours du mois vers son plus haut niveau depuis février 2008.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a en effet vu son baromètre de l'humeur des particuliers passer de 69,0 à 76,2 pour mai, au lieu des 71,0 espérés.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements des Etats-Unis établi par Case-Schiller avait grimpé pour mars de 10,9% d'une année sur l'autre, constituant son plus gros sursaut depuis avril 2006.
Ces grosses performances ont amplifié les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,14%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,35 et 1,79%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,72 et 1,09%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,62 et 0,28%.
Le modiste H&M dégringolait pour sa part de 1,59% après que Goldman Sachs en ait rabaissé l'appréciation depuis la neutralité vers le conseil de vente, estimant que sa rentabilité souffrirait de la migration des consommateurs vers les boutiques en ligne.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,91%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking coulait de 0,91%, et HSBC Holdings de 1,11%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en lanternes rouges avec 1,23 et 1,78%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,77 et 0,63%, leurs rivaux Antofagasta et Evraz faisant encore pire avec 3,29 et 3,75%.
Tout n'était cependant pas désespéré, De La Rue, fournisseur d'équipements de sécurité et de manipulations de liquidités, arrachant 0,76% après avoir pourtant déploré une érosion de ses revenus à 484 millions de GBP annuels, au lieu des 509 millions de GBP attendus.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,39%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,40%.
L'Allemagne devait pour sa part fournir aujourd'hui la première évaluation de son évolution des prix à la consommation, ainsi que les variations enregistrées sur son marché de l'emploi.