Investing.com - La livre sterling s'est retrouvée aux abords d'une ornière journalière ce mercredi, après que le procès-verbal du dernier conseil directeur de son émettrice ait montré que trois de ses membres avaient voté en faveur d'assouplissements supplémentaires.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5618 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5621, perdant 0,13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5564, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1,5722, son plafond d'hier.
Le compte-rendu détaillé montrait en effet que Mervyn King, gouverneur de la banque centrale britannique en fin de mandat, et deux autres décideurs s'étaient prononcés en faveur d'une augmentation de 25 milliards de GBP du volume de ses rachats d'actifs, mais que six autres avaient voté contre.
Le scrutin concernant le maintien de son taux d'intérêt à 0,5%, son plus bas niveau historique, était par contre unanime.
Il y était précisé que les résultats économiques récents avaient été largement positifs, conformément aux prévisions de relance lente mais constante émises le mois passé dans ses projections trimestrielles.
Le couple semblait devoir rester circonscrit dans une fourchette limitée à l'approche de la révélation dans l'après-midi des décisions de la banque centrale américaine.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera en fin de journée était surveillée comme le lait sur le feu, son futur demeurant flou après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,11% pour se hisser à 0,8569.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5618 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5621, perdant 0,13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5564, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1,5722, son plafond d'hier.
Le compte-rendu détaillé montrait en effet que Mervyn King, gouverneur de la banque centrale britannique en fin de mandat, et deux autres décideurs s'étaient prononcés en faveur d'une augmentation de 25 milliards de GBP du volume de ses rachats d'actifs, mais que six autres avaient voté contre.
Le scrutin concernant le maintien de son taux d'intérêt à 0,5%, son plus bas niveau historique, était par contre unanime.
Il y était précisé que les résultats économiques récents avaient été largement positifs, conformément aux prévisions de relance lente mais constante émises le mois passé dans ses projections trimestrielles.
Le couple semblait devoir rester circonscrit dans une fourchette limitée à l'approche de la révélation dans l'après-midi des décisions de la banque centrale américaine.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera en fin de journée était surveillée comme le lait sur le feu, son futur demeurant flou après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,11% pour se hisser à 0,8569.