Investing.com - L'euro a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce lundi matin, alors que la mise à pied partielle des fonctionnaires entamait sa seconde semaine sans signes manifestes de solution imminente à Washington.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1?3577 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3571, prenant 0,13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3503, son plancher du 3 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3631, son plafond de près de huit mois établi vendredi.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a ainsi assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relaance des institutions ni ne remonteraient la limite de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas de discuter de leurs exigences de réductions de dépenses.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octovre, date à laquelle le ministère des finances a avverti qu'un défaut de paiement comme il n'en a encore jamais été vu était possible.
Les retards dans les divulgations des statistiques alimentent les incertitudes concernant les possibilités de réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Le rapport crucial sur l'emploi non agricole pour septembre n'a notamment pas été publié vendredi, en raison des retards entraînés par la paralysie des administrations, et aucune information n'a filtré sur le moment où il le serait.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour reprendre pied à 0,8462, mais moin bien contre le yen, l'EUR/JPY dérapant de 0,23% pour glisser à 131,79.
Le bloc au sein duquel elle a cours comptait quand à lui fournir aujourd'hui les chiffres révisés de la croissance au second trimestre.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1?3577 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3571, prenant 0,13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3503, son plancher du 3 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3631, son plafond de près de huit mois établi vendredi.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a ainsi assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relaance des institutions ni ne remonteraient la limite de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas de discuter de leurs exigences de réductions de dépenses.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octovre, date à laquelle le ministère des finances a avverti qu'un défaut de paiement comme il n'en a encore jamais été vu était possible.
Les retards dans les divulgations des statistiques alimentent les incertitudes concernant les possibilités de réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Le rapport crucial sur l'emploi non agricole pour septembre n'a notamment pas été publié vendredi, en raison des retards entraînés par la paralysie des administrations, et aucune information n'a filtré sur le moment où il le serait.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour reprendre pied à 0,8462, mais moin bien contre le yen, l'EUR/JPY dérapant de 0,23% pour glisser à 131,79.
Le bloc au sein duquel elle a cours comptait quand à lui fournir aujourd'hui les chiffres révisés de la croissance au second trimestre.