Investing.com - L'euro a poursuivi sa descente aux enfers face à ses homologues américain, japonais et britannique ce jeudi après-midi, les résultats décevants là où il a cours ayant amplifié les rumeurs concernant les orientations de son émettrice.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3633 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 17 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,3648, perdant 0,63%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3600, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3737, son plafond du jour.
La monnaie unique a en effet plongé après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un net ralentissement par rapport aux 1,1% ayant précédé, alors qu'une stabilisation semblait probable.
Elle s'est du coup encore plus éloignée des 2%, voire un peu moins, visés par la Banque Centrale Européenne.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps.
Le billet vert avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis se soit montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture, entretenant le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses aides.
Elle a ainsi maintenu hier le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que "le secteur immobilier avait quelque peu ralenti ces derniers mois", mais estimé que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient.
La baisse conforme aux espérances des inscriptions au chômage américaines n'a pour sa part guère eu d'effets.
Le département d'état au travail américainen a ainsi dénombré 10.000 de mois au cours de la semaine achevée le 25 octobre, pour un total hebdomadaire de 340.000 après correction saisonnière.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,93% pour déraper à 134,06.
La Banque du Japon avait elle aussi opté pour le statu quo à l'aube, rappelant qu'elle comptait atteindre les 2% d'inflation annuelle qu'elle vise d'ici avril 2015.
La livre sterling a elle aussi exercé sa pression, l'EUR/GBP reculant de 0,68% pour se rétracter à 0,8505.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3633 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 17 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,3648, perdant 0,63%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3600, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3737, son plafond du jour.
La monnaie unique a en effet plongé après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un net ralentissement par rapport aux 1,1% ayant précédé, alors qu'une stabilisation semblait probable.
Elle s'est du coup encore plus éloignée des 2%, voire un peu moins, visés par la Banque Centrale Européenne.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps.
Le billet vert avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis se soit montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture, entretenant le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses aides.
Elle a ainsi maintenu hier le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que "le secteur immobilier avait quelque peu ralenti ces derniers mois", mais estimé que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient.
La baisse conforme aux espérances des inscriptions au chômage américaines n'a pour sa part guère eu d'effets.
Le département d'état au travail américainen a ainsi dénombré 10.000 de mois au cours de la semaine achevée le 25 octobre, pour un total hebdomadaire de 340.000 après correction saisonnière.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,93% pour déraper à 134,06.
La Banque du Japon avait elle aussi opté pour le statu quo à l'aube, rappelant qu'elle comptait atteindre les 2% d'inflation annuelle qu'elle vise d'ici avril 2015.
La livre sterling a elle aussi exercé sa pression, l'EUR/GBP reculant de 0,68% pour se rétracter à 0,8505.