Investing.com - L'euro s'est a laissé le dollar U.S. prendre modérément l'avantage ce mercredi après-midi, dans l'expectative des publications imminentes de chiffres américains et du procès-verbal de la réunion d'octobre du comité fédéral des marchés ouverts.
La paire EUR/USD est descendue depuis 1,3537 jusqu'à 1,3552 en seconde partie de séance européenne, trébuchant de 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3486, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3588, son plafond du premier novembre.
Le chef de la banque centrale des Etats-Unis avait cependant une fois de plus renouvelé hier ses engagements visant le maintien de la souplesse de sa politique.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé que celle-ci garderait son cap actuel tant qu'il serait nécessaire, et qu'elle ne mettrait un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats mensuels que lorsqu'elle serait certaine que le marché de l'emploi pourrait commencer à s'en passer.
Il a ajouté que les taux d'intérêts demeureront probablement proches de zéro pour encore "bien longtemps" une fois cette première étape advenue.
Le compte-rendu de sa plus récente prise de cap devrait fournir des indices supplémentaires sur les orientations monétaires.
Le volume des ventes au détail des Etats-Unis, mais aussi le niveau de l'inflation des prix proposés aux particuliers et le volume des ventes de logements d'occasion seront aussi au centre des débats.
La monnaie unique a par ailleurs moins bien résisté au yen, l'EUR/JPY chutant de 0,27% pour glisser à 135,18, après avoir culminé à 135,94, son plus haut niveau depuis octobre 2009.
Ce dernier a d'autre part pris la main contre l'étalon américain, l'USD/JPY se rétractant de 0,17% pour déraper à 99,96, s'éloignant de son pic de 100,46 datant de vendredi.
La paire EUR/USD est descendue depuis 1,3537 jusqu'à 1,3552 en seconde partie de séance européenne, trébuchant de 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3486, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3588, son plafond du premier novembre.
Le chef de la banque centrale des Etats-Unis avait cependant une fois de plus renouvelé hier ses engagements visant le maintien de la souplesse de sa politique.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé que celle-ci garderait son cap actuel tant qu'il serait nécessaire, et qu'elle ne mettrait un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats mensuels que lorsqu'elle serait certaine que le marché de l'emploi pourrait commencer à s'en passer.
Il a ajouté que les taux d'intérêts demeureront probablement proches de zéro pour encore "bien longtemps" une fois cette première étape advenue.
Le compte-rendu de sa plus récente prise de cap devrait fournir des indices supplémentaires sur les orientations monétaires.
Le volume des ventes au détail des Etats-Unis, mais aussi le niveau de l'inflation des prix proposés aux particuliers et le volume des ventes de logements d'occasion seront aussi au centre des débats.
La monnaie unique a par ailleurs moins bien résisté au yen, l'EUR/JPY chutant de 0,27% pour glisser à 135,18, après avoir culminé à 135,94, son plus haut niveau depuis octobre 2009.
Ce dernier a d'autre part pris la main contre l'étalon américain, l'USD/JPY se rétractant de 0,17% pour déraper à 99,96, s'éloignant de son pic de 100,46 datant de vendredi.