Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, et notamment dans une ornière mensuelle par rapport à son homologue européen, mais il caracolait aux abords d'un pic de six mois contre le japonais, les échanges se faisant rares à la veille d'un jour férié là où il a lui-même cours.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,44% pour se retrouver à 101,71, lorgnant sur son meilleur niveau en six mois, établi lundi à 101,90.
La devise nippone demeurait sur la défensive sur fond d'attente renforcée de nouveaux assouplissements de la part de la Banque du Japon.
Sayuri Shirai, membre de son conseil directeur, avait estimé à l'aube qu'il pourrait être difficile d'atteindre les 2% d'inflation visés d'ici 2015, en raison des risques d'essoufflement de la croissance.
Les résultats en demi-teinte publiés hier par les Etats-Unis ont quand à elle peu influé sur les rumeurs selon lesquelles leur banque centrale pourrait diminuer sous peu.
Il a ainsi été montré hier que la confiance de leurs consommateurs était tombée ce mois-ci au plus bas des sept mois écoulés, mais qu'ils avaient accordé en octobre le plus grand nombre de permis de construire en cinq ans.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,14% pour grimper à 1,3590, sa plus forte valeur depuis le 31 octobre.
Ce dernier a poursuivi son offensive après que l'indice prévisionnel du moral des consommateurs allemands établi par le groupe de recherches économiques Gfk soit passé de 7,1 à 7,4 pour décembre, son meilleur niveau en six ans.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,6231, en attendant la publication imminente des chiffres révisés de la croissance britannique au troisième trimestre.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,08% pour tomber à 0,9055.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,10% pour decendre à 0,9115, le NZD/USD dérapant de 0,01% pour reprendre pied à 0,8192 et l'USD/CAD progressant de 0,12% pour aller vers 1,0553.
Il avait été signalé en début de journée que le déficit du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande s'était limité à 168 millions de NZD le mois passé, du jamais vu depuis 1996, les exportations en direction de la Chine atteignant des records.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 80,62.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de Chicago, après quoi le département d'état au travail rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage avec un jour d'avance en raison de la fête américaine de Thanksgiving qui aura lieu jeudi.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,44% pour se retrouver à 101,71, lorgnant sur son meilleur niveau en six mois, établi lundi à 101,90.
La devise nippone demeurait sur la défensive sur fond d'attente renforcée de nouveaux assouplissements de la part de la Banque du Japon.
Sayuri Shirai, membre de son conseil directeur, avait estimé à l'aube qu'il pourrait être difficile d'atteindre les 2% d'inflation visés d'ici 2015, en raison des risques d'essoufflement de la croissance.
Les résultats en demi-teinte publiés hier par les Etats-Unis ont quand à elle peu influé sur les rumeurs selon lesquelles leur banque centrale pourrait diminuer sous peu.
Il a ainsi été montré hier que la confiance de leurs consommateurs était tombée ce mois-ci au plus bas des sept mois écoulés, mais qu'ils avaient accordé en octobre le plus grand nombre de permis de construire en cinq ans.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,14% pour grimper à 1,3590, sa plus forte valeur depuis le 31 octobre.
Ce dernier a poursuivi son offensive après que l'indice prévisionnel du moral des consommateurs allemands établi par le groupe de recherches économiques Gfk soit passé de 7,1 à 7,4 pour décembre, son meilleur niveau en six ans.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,6231, en attendant la publication imminente des chiffres révisés de la croissance britannique au troisième trimestre.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,08% pour tomber à 0,9055.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,10% pour decendre à 0,9115, le NZD/USD dérapant de 0,01% pour reprendre pied à 0,8192 et l'USD/CAD progressant de 0,12% pour aller vers 1,0553.
Il avait été signalé en début de journée que le déficit du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande s'était limité à 168 millions de NZD le mois passé, du jamais vu depuis 1996, les exportations en direction de la Chine atteignant des records.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 80,62.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de Chicago, après quoi le département d'état au travail rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage avec un jour d'avance en raison de la fête américaine de Thanksgiving qui aura lieu jeudi.