La croissance du secteur manufacturier dans la zone euro reste quasi-nulle en octobre, la faiblesse de la demande continuant de freiner l'expansion de la production et de l'emploi, d'après l'indice PMI final Markit.
A 50,6 en octobre, cet indice ne s'inscrit que très légèrement au-dessus du 50 du sans changement. Il se redresse toutefois par rapport au plus bas de 14 mois enregistré en septembre (50,3) et se maintient en territoire positif pour le 16ème mois consécutif.
L'Allemagne est le seul autre pays à indiquer une croissance en octobre, les secteurs manufacturiers des autres pays de la région se contractant au cours du mois. La détérioration des performances s'accentue en France tandis que l'Italie enregistre un retour à la contraction.
Reflétant essentiellement la faiblesse de la demande sur les marchés nationaux, le volume global des nouvelles commandes diminue pour le second mois consécutif en octobre, le taux de contraction fléchissant néanmoins légèrement par rapport au mois dernier.
'Il est ainsi peu probable que le secteur manufacturier puisse stimuler de manière significative la croissance anémique du PIB dans la zone de la monnaie unique', commente Rob Dobson, senior economist à Markit.
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A 50,6 en octobre, cet indice ne s'inscrit que très légèrement au-dessus du 50 du sans changement. Il se redresse toutefois par rapport au plus bas de 14 mois enregistré en septembre (50,3) et se maintient en territoire positif pour le 16ème mois consécutif.
L'Allemagne est le seul autre pays à indiquer une croissance en octobre, les secteurs manufacturiers des autres pays de la région se contractant au cours du mois. La détérioration des performances s'accentue en France tandis que l'Italie enregistre un retour à la contraction.
Reflétant essentiellement la faiblesse de la demande sur les marchés nationaux, le volume global des nouvelles commandes diminue pour le second mois consécutif en octobre, le taux de contraction fléchissant néanmoins légèrement par rapport au mois dernier.
'Il est ainsi peu probable que le secteur manufacturier puisse stimuler de manière significative la croissance anémique du PIB dans la zone de la monnaie unique', commente Rob Dobson, senior economist à Markit.
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