Investing.com - Les bourses asiatiques ont ouvert la semaine dans le rouge, alors que les inquiétudes au sujet de la croissance mondiale ont pris le dessus sur les récentes annonces d'assouplissement monétaire de la part de plusieurs grandes banques centrales.
Une série de statistiques décevantes la semaine dernière, révélant une nouvelle contraction de l'activité manufacturière en Chine et dans la zone euro notamment, avaient relancé les craintes pour les perspectives économiques des grandes puissances mondiales.
Les tensions diplomatiques entre la Chine et la Japon restaient également au centre de l'attention, lundi matin. Selon l'agence de presse Xinhua, deux navires de surveillance chinois ont opéré une patrouille de "défense des droits" dans les eaux situées près des îlots Senkaku/Diaoyu que se contestent Tokyo et Pékin. Information confirmée par les autorités japonaises.
Dans une interview accordée au Wall Street Journal, le chef du gouvernement nippon estime que la Chine devrait prendre soin, dans la gestion de ses relations avec d'autres nations, de ne pas trop effrayer les investisseurs étrangers car elle risquerait au final de porter, par son comportement, atteinte à sa propre économie.
En fin de séance, le Hang Seng cédait 0,15%, l'ASX australien reculait de 0,52% et le Nikkei japonais pliait de 0,63%.
Aux Etats-Unis, les marchés ont terminé la semaine en légère baisse, alors que l'optimise lié à l'annonce d'un troisième round d'assouplissement monétaire par la Réserve fédérale commençait à s'essouffler face au scepticisme de certains investisseurs quant à l'efficacité d'une telle mesure pour combattre la crise.
Vendredi, le Dow Jones Industrial Average a fermé sur un repli de 0,13%, le S&P 500 cédait 0,01% et le Nasdaq était l'équilibre.
Quant aux bourses européenes, elles ont terminé en hausse, soutenues par des rumeurs de discussions entre Madrid et l'Union européenne au sujet d'une aide financière imminente pour l'Espagne.
Selon le Financial Times, la Commission européenne était en train d'aider discrètement Madrid à élaborer les réformes économiques qui lui ouvriraient l’accès au programme de rachat d’obligations souveraines de la Banque centrale européenne.
Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a toutefois déclaré vendredi à Berlin que "l'Espagne n'a pas besoin d'un plan parce qu'elle fait ce qu'il faut et qu'elle réussira". "Ce dont l'Espagne a besoin, c'est de la confiance des marchés financiers", a-t-il ajouté.
Le weekend a également été marqué par une rencontre entre Angela Merkel et François Hollande, à Ludwisgburg, en Allemagne, pour célébrer 50 ans d'amitié franco-allemande. Les deux dirigeants ont pris la parole dans la cour d'honneur du château, à l'endroit même où le général de Gaulle avait prononcé son célèbre discours de réconciliation le 9 septembre 1962.
En fin de séance, le CAC 40 progressait de 0,59% et l'EURO STOXX 50 avançait de 0,37%, tandis que le DAX s'octroyait 0,84% et le Footsie 100 cédait 0,03%.
L'indice Ifo du climat des affaires allemand sera publié plus tard dans la matinée.
Le volume d'échanges risque toutefois de rester limité, en l'absence de statistiques majeures en provenance des Etats-Unis.
Une série de statistiques décevantes la semaine dernière, révélant une nouvelle contraction de l'activité manufacturière en Chine et dans la zone euro notamment, avaient relancé les craintes pour les perspectives économiques des grandes puissances mondiales.
Les tensions diplomatiques entre la Chine et la Japon restaient également au centre de l'attention, lundi matin. Selon l'agence de presse Xinhua, deux navires de surveillance chinois ont opéré une patrouille de "défense des droits" dans les eaux situées près des îlots Senkaku/Diaoyu que se contestent Tokyo et Pékin. Information confirmée par les autorités japonaises.
Dans une interview accordée au Wall Street Journal, le chef du gouvernement nippon estime que la Chine devrait prendre soin, dans la gestion de ses relations avec d'autres nations, de ne pas trop effrayer les investisseurs étrangers car elle risquerait au final de porter, par son comportement, atteinte à sa propre économie.
En fin de séance, le Hang Seng cédait 0,15%, l'ASX australien reculait de 0,52% et le Nikkei japonais pliait de 0,63%.
Aux Etats-Unis, les marchés ont terminé la semaine en légère baisse, alors que l'optimise lié à l'annonce d'un troisième round d'assouplissement monétaire par la Réserve fédérale commençait à s'essouffler face au scepticisme de certains investisseurs quant à l'efficacité d'une telle mesure pour combattre la crise.
Vendredi, le Dow Jones Industrial Average a fermé sur un repli de 0,13%, le S&P 500 cédait 0,01% et le Nasdaq était l'équilibre.
Quant aux bourses européenes, elles ont terminé en hausse, soutenues par des rumeurs de discussions entre Madrid et l'Union européenne au sujet d'une aide financière imminente pour l'Espagne.
Selon le Financial Times, la Commission européenne était en train d'aider discrètement Madrid à élaborer les réformes économiques qui lui ouvriraient l’accès au programme de rachat d’obligations souveraines de la Banque centrale européenne.
Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a toutefois déclaré vendredi à Berlin que "l'Espagne n'a pas besoin d'un plan parce qu'elle fait ce qu'il faut et qu'elle réussira". "Ce dont l'Espagne a besoin, c'est de la confiance des marchés financiers", a-t-il ajouté.
Le weekend a également été marqué par une rencontre entre Angela Merkel et François Hollande, à Ludwisgburg, en Allemagne, pour célébrer 50 ans d'amitié franco-allemande. Les deux dirigeants ont pris la parole dans la cour d'honneur du château, à l'endroit même où le général de Gaulle avait prononcé son célèbre discours de réconciliation le 9 septembre 1962.
En fin de séance, le CAC 40 progressait de 0,59% et l'EURO STOXX 50 avançait de 0,37%, tandis que le DAX s'octroyait 0,84% et le Footsie 100 cédait 0,03%.
L'indice Ifo du climat des affaires allemand sera publié plus tard dans la matinée.
Le volume d'échanges risque toutefois de rester limité, en l'absence de statistiques majeures en provenance des Etats-Unis.