Investing.com - La Bourse de Paris reculait de 1,83% à mi-séance mercredi, affectée par l’absence de nouvelles mesures de relance de l’économie américaine par la Fed et après l’émission de trois milliards d’euros d’obligations italiennes à des rendements-records.
Dans les conclusions de sa dernière réunion de politique monétaire, la Réserve fédérale américaine a décidé de ne pas adopter de nouvelles mesures de soutien à l'économie, soulignant par ailleurs que la situation en Europe comportait des risques pour l'économie américaine.
Quant au Trésor italien, il a adjugé 3 milliards d’euros d'obligations à 5 ans, soit le haut de la fourchette visé, mais à un rendement record de 6,47%, contre 6,29% lors d'une émission similaire en novembre.
Sur le front macroéconomique, la production industrielle de la zone euro a diminué de 0,1% en octobre, mais affichait toutefois une progression de 1,3% sur un an.
Les valeurs financières restaient sous pression mercredi. A mi-séance, BNP Paribas cédait 2,90%, Société Générale 4,12% et Crédit Agricole 1,66%. Selon les syndicats mercredi matin, la banque verte devait annoncer la suppression de 2.350 emplois, dont 850 en France, dans le cadre de son plan de réduction du bilan.
Les chiffres devaient être confirmés par la direction dans le courant de la journée.
L’assureur Axa a chuté de 3,07% après l’abaissement par Barclays de ses objectifs de cours sur le groupe français de 15,70 à 14,30 euros.
Capgemini a également affiché l’une des plus fortes baisses de l’indice parisien. La valeur abandonnait 4,07%, alors que son concurrent britannique annonçait un second avertissement sur ses résultats annuels.
Le secteur automobile se trouvait aussi en terrain négatif à mi-séance.
Peugeot perdait 0,66% et Renault 2,37%. Le président du directoire de Renault, Philippe Varin, avait annoncé plus tôt que la division automobile du groupe accusera une perte de plus de 405 millions d'euros au second semestre.
Par ailleurs, Moody's a abaissé la perspective de Renault de "positive" à "stable".
Veolia Environnement a également été victime de l’agence de notation, qui a placé la note de crédit A3 du spécialiste des services à l'environnement sous surveillance en vue d'un éventuel déclassement. La valeur a perdu 1,71% après l’annonce.
Seul Suez Environnement évoluait dans le vert à la mi-journée, affichant une progression de 0,90%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 chutait de 1,35%, le DAX30 allemand reculait de 1,15% et le Footsie 100 londonien perdait 0,99%.
Dans les conclusions de sa dernière réunion de politique monétaire, la Réserve fédérale américaine a décidé de ne pas adopter de nouvelles mesures de soutien à l'économie, soulignant par ailleurs que la situation en Europe comportait des risques pour l'économie américaine.
Quant au Trésor italien, il a adjugé 3 milliards d’euros d'obligations à 5 ans, soit le haut de la fourchette visé, mais à un rendement record de 6,47%, contre 6,29% lors d'une émission similaire en novembre.
Sur le front macroéconomique, la production industrielle de la zone euro a diminué de 0,1% en octobre, mais affichait toutefois une progression de 1,3% sur un an.
Les valeurs financières restaient sous pression mercredi. A mi-séance, BNP Paribas cédait 2,90%, Société Générale 4,12% et Crédit Agricole 1,66%. Selon les syndicats mercredi matin, la banque verte devait annoncer la suppression de 2.350 emplois, dont 850 en France, dans le cadre de son plan de réduction du bilan.
Les chiffres devaient être confirmés par la direction dans le courant de la journée.
L’assureur Axa a chuté de 3,07% après l’abaissement par Barclays de ses objectifs de cours sur le groupe français de 15,70 à 14,30 euros.
Capgemini a également affiché l’une des plus fortes baisses de l’indice parisien. La valeur abandonnait 4,07%, alors que son concurrent britannique annonçait un second avertissement sur ses résultats annuels.
Le secteur automobile se trouvait aussi en terrain négatif à mi-séance.
Peugeot perdait 0,66% et Renault 2,37%. Le président du directoire de Renault, Philippe Varin, avait annoncé plus tôt que la division automobile du groupe accusera une perte de plus de 405 millions d'euros au second semestre.
Par ailleurs, Moody's a abaissé la perspective de Renault de "positive" à "stable".
Veolia Environnement a également été victime de l’agence de notation, qui a placé la note de crédit A3 du spécialiste des services à l'environnement sous surveillance en vue d'un éventuel déclassement. La valeur a perdu 1,71% après l’annonce.
Seul Suez Environnement évoluait dans le vert à la mi-journée, affichant une progression de 0,90%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 chutait de 1,35%, le DAX30 allemand reculait de 1,15% et le Footsie 100 londonien perdait 0,99%.