Investing.com - Les options sur l'or étaient à la baisse ce mercredi, prolongeant les fortes pertes de la session précédente, alors que les investisseurs continuaient à liquider leurs positions pour assurer leurs gains suite au rebond ayant mené vers un nouveau record, tandis que les prix immédiats bénéficiaient d'une forte demande physique.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 846.15 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.7%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 827.95 USD, leur pire cours du jour, avec 1.5% de dégringolade.
Hier les avait vus plonger de pas moins de 3.65%, leur chute journalière la plus rapide depuis février 2010, se trouvant mis à mal par le net regain de forme de Wall Street.
Ils n'en avaient pas moins culminé à 1 917.9 USD, un sommet historique, qui a poussé les investisseurs peu enclins à parier sur une poursuite de l'envolée à encaisser leurs plus-values.
Le Crédit Suisse, pourvoyeur international de services financiers, a prévenu mardi que les cours étaient susceptibles de subir des nouvelles corrections baissières à court terme, "avant de se stabiliser et de reprendre leur ascension".
La renforcement du dollar U.S. a aussi fait fléchir les prix, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.21% de son côté pour se situer à 74.03.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La forte demande asiatique pour le métal précieux a toutefois encouragé les prix pour une fourniture immédiate, la forte baisse d'hier ayant entraîné des achats d'opportunité.
Les cours devraient tout de même rester soutenus à court terme sur fond de craintes concernant la crise de la dette souveraine de la zone euro, tandis que les observateurs guettaient impatiemment le discours crucial de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prévu pour vendredi, en quête d'indices pouvant annoncer de nouvelles mesures stimulatrices.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 846.15 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.7%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 827.95 USD, leur pire cours du jour, avec 1.5% de dégringolade.
Hier les avait vus plonger de pas moins de 3.65%, leur chute journalière la plus rapide depuis février 2010, se trouvant mis à mal par le net regain de forme de Wall Street.
Ils n'en avaient pas moins culminé à 1 917.9 USD, un sommet historique, qui a poussé les investisseurs peu enclins à parier sur une poursuite de l'envolée à encaisser leurs plus-values.
Le Crédit Suisse, pourvoyeur international de services financiers, a prévenu mardi que les cours étaient susceptibles de subir des nouvelles corrections baissières à court terme, "avant de se stabiliser et de reprendre leur ascension".
La renforcement du dollar U.S. a aussi fait fléchir les prix, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.21% de son côté pour se situer à 74.03.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La forte demande asiatique pour le métal précieux a toutefois encouragé les prix pour une fourniture immédiate, la forte baisse d'hier ayant entraîné des achats d'opportunité.
Les cours devraient tout de même rester soutenus à court terme sur fond de craintes concernant la crise de la dette souveraine de la zone euro, tandis que les observateurs guettaient impatiemment le discours crucial de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prévu pour vendredi, en quête d'indices pouvant annoncer de nouvelles mesures stimulatrices.