Investing.com - Les bourses européennes étaient en grande forme ce mercredi, le goût pour les valeurs audacieuses ayant été encouragé par les signes de progression des débats entre la Grèce et ses bailleurs de fonds.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a engrangé 1.85%, le CAC 40 français 1.75%, et le DAX 30 allemand 1.95%.
Le journal grec Kathimerini a en effet rapporté que le chef de la délégation du FMI à Athènes aurait affirmé que les pourparlers concernant le nouveau plan de prêts au pays seraient conclus dans les prochains jours.
Celui-ci reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
La finance s'en est réjouie, les français Société Générale et BNP Paribas, fortement exposés au risque souverain hellène, s'envolant respectivement de 5 et 3.1%, tandis que la Deutsche Bank allemande se contentait de 2.75%.
Leurs homologues de la périphérie n'étaient pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo raflant 4.1 et 3.95%, et l'espagnol Banco Santander 2.2%.
Le fabricant de puces électroniques allemand Infineon Technologies a pour sa part rebondi de 5.1% après avoir annoncé que ses recettes du premier trimestre fiscal avaient augmenté de 3% pour totaliser 946 millions d'euros, dépassant ainsi les 933 millions attendus, tout en subissant une baisse de ses profits opérationnels pour la même période inférieure aux craintes.
A Londres, le FTSE 100 a prolongé son ascension, tiré vers le haut par un rapport montrant que l'activité manufacturière britannique de janvier avait progressé de la plus forte manière depuis mai, s'élevant ainsi de 1.4%.
Le courtier intermédiaire ICAP a encaissé 8.4% de son côté malgré l'aveu selon lequel ses bénéfices annuels devraient se situer dans la partie basse de la fourchette fournie en novembre par les experts, la crise de la dette souveraine de la zone euro ayant nui à l'audace des investisseurs.
Le domaine financier n'était pas à négliger, la Royal Bank of Scotland acumulant 4.15%, Barclays 3.55% et le Lloyds Banking Group 2.85%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes, dans l'attente de la publication des performances du géant des circuits intégrés Qualcomm et de l'opérateur boursier Nasdaq OMX.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.65%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.7% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.45%.
Les Etats-Unis verront leurs experts rendre en fin de journée une étude sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité manufacturière nationale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a engrangé 1.85%, le CAC 40 français 1.75%, et le DAX 30 allemand 1.95%.
Le journal grec Kathimerini a en effet rapporté que le chef de la délégation du FMI à Athènes aurait affirmé que les pourparlers concernant le nouveau plan de prêts au pays seraient conclus dans les prochains jours.
Celui-ci reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
La finance s'en est réjouie, les français Société Générale et BNP Paribas, fortement exposés au risque souverain hellène, s'envolant respectivement de 5 et 3.1%, tandis que la Deutsche Bank allemande se contentait de 2.75%.
Leurs homologues de la périphérie n'étaient pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo raflant 4.1 et 3.95%, et l'espagnol Banco Santander 2.2%.
Le fabricant de puces électroniques allemand Infineon Technologies a pour sa part rebondi de 5.1% après avoir annoncé que ses recettes du premier trimestre fiscal avaient augmenté de 3% pour totaliser 946 millions d'euros, dépassant ainsi les 933 millions attendus, tout en subissant une baisse de ses profits opérationnels pour la même période inférieure aux craintes.
A Londres, le FTSE 100 a prolongé son ascension, tiré vers le haut par un rapport montrant que l'activité manufacturière britannique de janvier avait progressé de la plus forte manière depuis mai, s'élevant ainsi de 1.4%.
Le courtier intermédiaire ICAP a encaissé 8.4% de son côté malgré l'aveu selon lequel ses bénéfices annuels devraient se situer dans la partie basse de la fourchette fournie en novembre par les experts, la crise de la dette souveraine de la zone euro ayant nui à l'audace des investisseurs.
Le domaine financier n'était pas à négliger, la Royal Bank of Scotland acumulant 4.15%, Barclays 3.55% et le Lloyds Banking Group 2.85%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes, dans l'attente de la publication des performances du géant des circuits intégrés Qualcomm et de l'opérateur boursier Nasdaq OMX.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.65%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.7% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.45%.
Les Etats-Unis verront leurs experts rendre en fin de journée une étude sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité manufacturière nationale.