Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, alors que les opérateurs restaient sur la touche à la veille des décisions de la Réserve Fédérale et de la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,16% pour tomber à 1,3076.
La monnaie unique demeurait sur la sellette dans l'attente de la prise de cap de son émettrice, sur fond de rumeurs de baisse des taux.
Une étude officielle avait auparavant mis en relief pour mars 4.000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit nettement plus que les 2.000 déjà redoutés, bien que le taux de chômage national demeure stable à 6,9%.
Il était d'autre part à noter que la récession espagnole s'était aggravée au premier trimestre avec un faux pas de 0,5%, comme il avait été redouté.
Le bloc euro atait aussi sur le point de révéler la proportion de ses chômeurs.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,03% pour chuter à 1,5495, mais se maintenant aux abords d'un pic de deux mois et demi.
Des informations de source gouvernementale avaient précédemment signalé que les prêts nets aux particuliers britanniques s'étaient réduits à un volume de 900 millions de GBP le mois passé, au lieu des 1,3 milliads envisagés.
D'autres faisaient savoir que 54.000 prêts hypothécaires avaient été accordés dans le même temps au lieu des 52.000 de février, dépassant ainsi les 53.000 anticipés.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,1% pour se hisser à 97,77.
Le conseil d'orientation de la Fed ayant lieu demain était au centre des attentions, en quête de signes préfigurant ses orientations futures, après que les piètres performances économiques récentes aient étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée de ses injections de capitaux.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,08% pour culminer à 0,9371.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD frémissant de 0,01% pour se retrouver à 1,0352, le NZD/USD se laissant arracher 0,13% pour toucher le fond à 0,8553 et l'USD/CAD prenant 0,05% pour monter à 1,0118.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient révélé à l'aube que le nombre de permis de construire qu'elles avaient délivrés avait plongé de 9,1% le mois dernier, alors qu'un sursaut de 2,0% était espéré.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,13% pour se situer à 82,27.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le baromètre de la confiance de leurs consommateurs et une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier fourniront leurs chiffres de l'inflation des prix des habitations.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,16% pour tomber à 1,3076.
La monnaie unique demeurait sur la sellette dans l'attente de la prise de cap de son émettrice, sur fond de rumeurs de baisse des taux.
Une étude officielle avait auparavant mis en relief pour mars 4.000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit nettement plus que les 2.000 déjà redoutés, bien que le taux de chômage national demeure stable à 6,9%.
Il était d'autre part à noter que la récession espagnole s'était aggravée au premier trimestre avec un faux pas de 0,5%, comme il avait été redouté.
Le bloc euro atait aussi sur le point de révéler la proportion de ses chômeurs.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,03% pour chuter à 1,5495, mais se maintenant aux abords d'un pic de deux mois et demi.
Des informations de source gouvernementale avaient précédemment signalé que les prêts nets aux particuliers britanniques s'étaient réduits à un volume de 900 millions de GBP le mois passé, au lieu des 1,3 milliads envisagés.
D'autres faisaient savoir que 54.000 prêts hypothécaires avaient été accordés dans le même temps au lieu des 52.000 de février, dépassant ainsi les 53.000 anticipés.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,1% pour se hisser à 97,77.
Le conseil d'orientation de la Fed ayant lieu demain était au centre des attentions, en quête de signes préfigurant ses orientations futures, après que les piètres performances économiques récentes aient étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée de ses injections de capitaux.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,08% pour culminer à 0,9371.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD frémissant de 0,01% pour se retrouver à 1,0352, le NZD/USD se laissant arracher 0,13% pour toucher le fond à 0,8553 et l'USD/CAD prenant 0,05% pour monter à 1,0118.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient révélé à l'aube que le nombre de permis de construire qu'elles avaient délivrés avait plongé de 9,1% le mois dernier, alors qu'un sursaut de 2,0% était espéré.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,13% pour se situer à 82,27.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le baromètre de la confiance de leurs consommateurs et une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier fourniront leurs chiffres de l'inflation des prix des habitations.