Investing.com - L'euro se trouvait largement affaibli, se retrouvant aux alentours d'un creux des 20 derniers mois face à la livre sterling ce lundi, freiné par la faiblesse des résultats économiques de la zone euro et les incertitudes politiques en France et aux Pays-Bas.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8166 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.817, perdant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 0.8161, son plancher des vingt mois écoulés atteint jeudi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.8193, son plafond du même jour.
Son blason s'était terni après qu'il ait été montré que la production manufacturière de la zone euro avait plongé pour avril à son plus bas niveau depuis juin 2009, et que l'activité de son secteur tertiaire avait reculé vers sa plusfaible valeur en cinq mois.
L'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers de la région est effectivement tombé à 46 pour le mois, après s'être situé à 47.7 lors du précédent, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à le voir grignoter 0.5 points pour se hisser à 48.2 pour la période considérée.
Ce recul était imputable aux faibles performances de l'Allemagne et de la France, le domaine secondaire germanique se retrouvant à son niveau plus bas en presque trois ans.
L'indice régional préliminaire des directeurs des achats tertiaires est pour sa part passé de 49.2 à 47.9, alors que les spécialistes espéraient le voir grapiller 0.2 points pour s'élever vers 49.4.
L'atmosphère se trouvait également alourdie par de nouveaux nuages flottant sur la zone euro, les observateurs tirant les conséquences du premier tour des élections présidentielles françaises et de l'échec des pourparlers budgétaires néerlandais.
La devise européenne a également perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD glissant de 0.58% pour sombrer à 1.3141.
La monnaie de la Grande-Bretagne demeurait soutenue par la révélation vendredi de ventes au détail connaissant en mars leur bond le plus important en plus d'un an, alimentant l'espoir d'une accélération de la relance économique nationale, et diminuant les attentes de stimuli monétaires qui proviendraient de la Banque d'Angleterre.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8166 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.817, perdant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 0.8161, son plancher des vingt mois écoulés atteint jeudi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.8193, son plafond du même jour.
Son blason s'était terni après qu'il ait été montré que la production manufacturière de la zone euro avait plongé pour avril à son plus bas niveau depuis juin 2009, et que l'activité de son secteur tertiaire avait reculé vers sa plusfaible valeur en cinq mois.
L'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers de la région est effectivement tombé à 46 pour le mois, après s'être situé à 47.7 lors du précédent, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à le voir grignoter 0.5 points pour se hisser à 48.2 pour la période considérée.
Ce recul était imputable aux faibles performances de l'Allemagne et de la France, le domaine secondaire germanique se retrouvant à son niveau plus bas en presque trois ans.
L'indice régional préliminaire des directeurs des achats tertiaires est pour sa part passé de 49.2 à 47.9, alors que les spécialistes espéraient le voir grapiller 0.2 points pour s'élever vers 49.4.
L'atmosphère se trouvait également alourdie par de nouveaux nuages flottant sur la zone euro, les observateurs tirant les conséquences du premier tour des élections présidentielles françaises et de l'échec des pourparlers budgétaires néerlandais.
La devise européenne a également perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD glissant de 0.58% pour sombrer à 1.3141.
La monnaie de la Grande-Bretagne demeurait soutenue par la révélation vendredi de ventes au détail connaissant en mars leur bond le plus important en plus d'un an, alimentant l'espoir d'une accélération de la relance économique nationale, et diminuant les attentes de stimuli monétaires qui proviendraient de la Banque d'Angleterre.