Investing.com - Le dollar U.S. a progressé face au franc suisse ce lundi, atteignant un nouveau pic sur fond de retour de l'audace, diminuant la demande pour le franc suisse, perçu comme un refuge.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.9872 en première partie de séance européenne, son sommet de la journée, puis s'est stabilisée vers 0.9844, prenant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9778, son plancher de vendredi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.9981, son plafond du 22 septembre.
Les medias suisses avaient auparavant rapporté que les régulateurs bancaires du pays allaient demander à l'UBS et au Crédit Suisse d'aller au-delà des exigences des accords de Bâle III.
Ces derniers imposent en effet aux banques de conserver au moins 4.5% du total de leurs investissements en capitaux propes, plus 2.5% comme amortisseur supplémentaire en cas de turbulences financières. La Banque Nationale Suisse avait toutefois estimé que les nouvelles règles mondiales n'allaient pas assez loin.
La monnaie helvétique a par contre gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF glissant de 0.14% pour atterrir à 1.3245.
Nouriel Roubini, économiste connu pour avoir prédit la crise des crédits douteux, avait auparavant averti que l'économie américaine était susceptible de tomber dans une seconde récession. Il a aussi ajouté que les chiffres du PIB du second trimestre avaient des chances d'être révisés à la baisse après les "affreux" chiffres de l'immobilier de juin.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.9872 en première partie de séance européenne, son sommet de la journée, puis s'est stabilisée vers 0.9844, prenant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9778, son plancher de vendredi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.9981, son plafond du 22 septembre.
Les medias suisses avaient auparavant rapporté que les régulateurs bancaires du pays allaient demander à l'UBS et au Crédit Suisse d'aller au-delà des exigences des accords de Bâle III.
Ces derniers imposent en effet aux banques de conserver au moins 4.5% du total de leurs investissements en capitaux propes, plus 2.5% comme amortisseur supplémentaire en cas de turbulences financières. La Banque Nationale Suisse avait toutefois estimé que les nouvelles règles mondiales n'allaient pas assez loin.
La monnaie helvétique a par contre gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF glissant de 0.14% pour atterrir à 1.3245.
Nouriel Roubini, économiste connu pour avoir prédit la crise des crédits douteux, avait auparavant averti que l'économie américaine était susceptible de tomber dans une seconde récession. Il a aussi ajouté que les chiffres du PIB du second trimestre avaient des chances d'être révisés à la baisse après les "affreux" chiffres de l'immobilier de juin.