Investing.com - La livre sterling a vu s'aggraver son déficit face au dollar U.S. ce mercredi, plongeant vers un creux des deux dernières semaines, les incertitudes touchant la Grèce poussant les opérateurs à s'en tenir aux valeurs sûres, dans l'angoisse d'une possible sortie de la zone euro de la part du pays.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6087 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 25 avril, puis s'est stabilisée vers 1.6089, perdant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6008, son plancher du 19 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6161, son plafond du jour.
Les inquiétudes concernant le futur d'Athènes dans le bloc ayant adopté la monnaie unique ont augmenté après qu'Alexis Tsipras, chef du parti Syriza, le second du pays, ait déclaré hier que le plan d'aides financières à Athènes était nul et non avenu, appelant à un moratoire sur les paiements de la dette nationale.
Il comptait aussi tenir aujourd'hui des pourparlers avec les dirigeants des autres formations politiques, dans l'espoir de former un gouvernement coalisé, mais un nouveau scrutin devra être organisé au cas où ceux-ci viendraient à échouer.
Les taux des emprunts à dix ans espagnols ont dépassé de leur côté les 6% ce matin, les acteurs des marchés redoutant une contamination par les problèmes grecs.
Les opérateurs craignaient d'autre part que l'insistance de François Hollande, président nouvellement élu en France, sur la croissance afin de lutter contre la crise de la dette régionale ne déclenche des tensions avec l'Allemagne.
La devise de la livre sterling rsetait proche d'un sommet de trois ans et demi par rapport à l'euro, bien que l'EUR/GBP ait grignoté 0.04% pour se hisser à 0.8051.
Des spécialistes avaient signalé ce matin que les prix au détail du Royaume-Uni avaient subi en avril leur plus forte dégringolade en plus d'un an, le temps inhabituellement pluvieux pour la saison ayant mis à mal les ventes de vêtements d'été et d'articles d'extérieur.
Le consortium des revendeurs britanniques BRC a avoué qu'elles avaient fondu de 3.3% en avril, alors qu'ils avaient augmenté de 1.3% le mois précédent, alors que 0.5% d'amélioration étaient espérés.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6087 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 25 avril, puis s'est stabilisée vers 1.6089, perdant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6008, son plancher du 19 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6161, son plafond du jour.
Les inquiétudes concernant le futur d'Athènes dans le bloc ayant adopté la monnaie unique ont augmenté après qu'Alexis Tsipras, chef du parti Syriza, le second du pays, ait déclaré hier que le plan d'aides financières à Athènes était nul et non avenu, appelant à un moratoire sur les paiements de la dette nationale.
Il comptait aussi tenir aujourd'hui des pourparlers avec les dirigeants des autres formations politiques, dans l'espoir de former un gouvernement coalisé, mais un nouveau scrutin devra être organisé au cas où ceux-ci viendraient à échouer.
Les taux des emprunts à dix ans espagnols ont dépassé de leur côté les 6% ce matin, les acteurs des marchés redoutant une contamination par les problèmes grecs.
Les opérateurs craignaient d'autre part que l'insistance de François Hollande, président nouvellement élu en France, sur la croissance afin de lutter contre la crise de la dette régionale ne déclenche des tensions avec l'Allemagne.
La devise de la livre sterling rsetait proche d'un sommet de trois ans et demi par rapport à l'euro, bien que l'EUR/GBP ait grignoté 0.04% pour se hisser à 0.8051.
Des spécialistes avaient signalé ce matin que les prix au détail du Royaume-Uni avaient subi en avril leur plus forte dégringolade en plus d'un an, le temps inhabituellement pluvieux pour la saison ayant mis à mal les ventes de vêtements d'été et d'articles d'extérieur.
Le consortium des revendeurs britanniques BRC a avoué qu'elles avaient fondu de 3.3% en avril, alors qu'ils avaient augmenté de 1.3% le mois précédent, alors que 0.5% d'amélioration étaient espérés.