Investing.com - Les options sur l'or peinaient à avancer ce mardi matin, guettant la publication avec retard des chiffres de l'emploi américains de septembre, sur fond de rumeurs concernant le moment où la Réserve Fédérale diminuera l'importance de ses rachats d'actifs.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.316,30 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0,05%.
Ils avaient précédement oscillé dans une étroite fourchette de moins de 5 USD située entre 1.313,20 USD, leur pire cours journalier, et 1.317,30 USD, leur meilleur, après avoir conclu hier à 1.315,80 USD avec une avancée de 0,09%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.273,80 USD, leur plancher du 17 octobre, et rencontrer de la résistance à 1.325,90 USD, leur plafond du 18 octobre.
Les yeux étaient désormais tournés vers le rapport sur l'emploi hors agriculture du mois passé, qui devait être établi le 4 octobre.
Il servira à évaluer le moment où la banque centrale des Etats-Unis réduira la voilure de ses apports de capitaux, qui sont au centre des débats.
Les chances semblent de plus en plus grandes que les conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis sur une relance déjà fragilisée encouragent la Réserve Fédérale à repousser la fermeture du robinet de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national à hauteur de 85 milliards d'USD mensuels.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs glissé de 0,55% pour chuter à 22,20 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont stagné à 3,304 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.316,30 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0,05%.
Ils avaient précédement oscillé dans une étroite fourchette de moins de 5 USD située entre 1.313,20 USD, leur pire cours journalier, et 1.317,30 USD, leur meilleur, après avoir conclu hier à 1.315,80 USD avec une avancée de 0,09%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.273,80 USD, leur plancher du 17 octobre, et rencontrer de la résistance à 1.325,90 USD, leur plafond du 18 octobre.
Les yeux étaient désormais tournés vers le rapport sur l'emploi hors agriculture du mois passé, qui devait être établi le 4 octobre.
Il servira à évaluer le moment où la banque centrale des Etats-Unis réduira la voilure de ses apports de capitaux, qui sont au centre des débats.
Les chances semblent de plus en plus grandes que les conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis sur une relance déjà fragilisée encouragent la Réserve Fédérale à repousser la fermeture du robinet de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national à hauteur de 85 milliards d'USD mensuels.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs glissé de 0,55% pour chuter à 22,20 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont stagné à 3,304 USD la livre dans le même temps.