Investing.com - La livre sterling est demeurée en baisse face au dollar U.S. ce mardi, les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro et les résultats économiques décevants du Royaume-Uni la rendant moins attirante.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5592 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5625, perdant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5575, son plancher de jeudi dernier, et de rencontrer de la résistance à 1.5663, son plafond du jour.
Le moral des investisseurs s'est en effet trouvé mis à mal après que S&P ait mis les notations monétaires à long terme des dettes souveraines de 15 des membres du bloc euro, dont l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, sous une perspective négative, faisant savoir qu'elle pourrait procéder à leur dégradation massive si leurs dirigeants ne réussissaient pas à entreprendre une action décisive dans la lutte contre la crise de la dette souveraine de la zone euro lors du sommet de vendredi.
Une étude du consortium des revendeurs britanniques BRC avait quand à elle montré que les ventes au détail du Royaume-Uni avaient connu le mois dernier leur plus forte chute annuelle dans des conditions comparables depuis mai, l'importance des promotions n'ayant pas suffi à attirer les chalands.
Le prêteur immobilier britannique Halifax a fait savoir de son côté que son indice des coûts des logements avait plongé de 0.9% pour le mois, alors que les experts ne pensaient pourtant pas les voir régresser de plus de 0.1%, précisant toutefois que le marché immobilier devrait demeurer stable dans les mois à venir.
La livre sterling a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.18% pour se hisser à 0.8579.
La monnaie uniqe a retrouvé des couleurs après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait déclaré que les dirigeants de l'Union Européenne prendraient des décisions importantes pour ramener la sérénité dans le bloc euro lors du sommet à venir en fin de semaine, prévenant toutefois que le processus serait long.
Des chiffres officiels avaient pour leur part indiqué que les commandes industrielles allemandes avaient connu pour octobre leur plus forte progression depuis mars 2010.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5592 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5625, perdant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5575, son plancher de jeudi dernier, et de rencontrer de la résistance à 1.5663, son plafond du jour.
Le moral des investisseurs s'est en effet trouvé mis à mal après que S&P ait mis les notations monétaires à long terme des dettes souveraines de 15 des membres du bloc euro, dont l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, sous une perspective négative, faisant savoir qu'elle pourrait procéder à leur dégradation massive si leurs dirigeants ne réussissaient pas à entreprendre une action décisive dans la lutte contre la crise de la dette souveraine de la zone euro lors du sommet de vendredi.
Une étude du consortium des revendeurs britanniques BRC avait quand à elle montré que les ventes au détail du Royaume-Uni avaient connu le mois dernier leur plus forte chute annuelle dans des conditions comparables depuis mai, l'importance des promotions n'ayant pas suffi à attirer les chalands.
Le prêteur immobilier britannique Halifax a fait savoir de son côté que son indice des coûts des logements avait plongé de 0.9% pour le mois, alors que les experts ne pensaient pourtant pas les voir régresser de plus de 0.1%, précisant toutefois que le marché immobilier devrait demeurer stable dans les mois à venir.
La livre sterling a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.18% pour se hisser à 0.8579.
La monnaie uniqe a retrouvé des couleurs après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait déclaré que les dirigeants de l'Union Européenne prendraient des décisions importantes pour ramener la sérénité dans le bloc euro lors du sommet à venir en fin de semaine, prévenant toutefois que le processus serait long.
Des chiffres officiels avaient pour leur part indiqué que les commandes industrielles allemandes avaient connu pour octobre leur plus forte progression depuis mars 2010.