Investing.com - Le dollar U.S. était en grande forme face au franc suisse ce jeudi, après que les propos de Thomas Jordan, vice-président de la Banque Nationale Suisse, aient laissé à penser que cette dernière était sur le point de mettre en place de nouvelles mesures destinées à affaiblir sa monnaie.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.7401 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 9 août, puis s'est stabilisée vers 0.7394, engrangeant tout de même 1.76%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7066, son plancher historique du 9 août, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.7591, son plafond datant du même jour.
M. Jordan a en effet déclaré ce matin que la BNS pourrait encore assouplir sa politique monétaire sans avoir à intervenir directement sur le marché des changes pour juguler la récente flambée de sa devise.
Cette déclaration a renforcé les rumeurs d'introduction par la banque centrale helvète de taux d'intérêt négatifs destinés à réduire son attrait.
Il a ajouté: "Nos actions font progressivement augmenter les liquidités en francs et leur possession en devient de moins en moins avantageuse."
Les représentants de la banque centrale ont toutefois refusé de commenter les rumeurs selon lesquelles les prêteurs nationaux pourraient comencer à faire payer 1% sur les dépôts en francs dès la semaine prochaine.
Elle avait annoncé mercredi de nouvelles mesures destinées à calmer son emballement, notamment des injections de liquidités sur les marchés financiers et des échanges de devises sur le celui des changes.
Son taux Libor à trois mois avait d'autre part éré ramené la semaine dernière de 0.75 à 0.25%, alors qu'elle qualifiait le franc suisse "énormément surévalué", ajoutant qu'elle ne "tolèrerait pas" un "durcissement des conditions monétaires" et lutterait donc contre une telle évolution.
Le swissy a également perdu beaucoup de terrain sur l'euro, l'EUR/CHF raflant 1.91% pour culminer à 1.0499.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître en cours de journée leur solde officiel du commerce extérieur, ainsi que des rapports gouvernementaux sur les nouvelles inscriptions au chômage et les réserves de gaz naturel.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.7401 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 9 août, puis s'est stabilisée vers 0.7394, engrangeant tout de même 1.76%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7066, son plancher historique du 9 août, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.7591, son plafond datant du même jour.
M. Jordan a en effet déclaré ce matin que la BNS pourrait encore assouplir sa politique monétaire sans avoir à intervenir directement sur le marché des changes pour juguler la récente flambée de sa devise.
Cette déclaration a renforcé les rumeurs d'introduction par la banque centrale helvète de taux d'intérêt négatifs destinés à réduire son attrait.
Il a ajouté: "Nos actions font progressivement augmenter les liquidités en francs et leur possession en devient de moins en moins avantageuse."
Les représentants de la banque centrale ont toutefois refusé de commenter les rumeurs selon lesquelles les prêteurs nationaux pourraient comencer à faire payer 1% sur les dépôts en francs dès la semaine prochaine.
Elle avait annoncé mercredi de nouvelles mesures destinées à calmer son emballement, notamment des injections de liquidités sur les marchés financiers et des échanges de devises sur le celui des changes.
Son taux Libor à trois mois avait d'autre part éré ramené la semaine dernière de 0.75 à 0.25%, alors qu'elle qualifiait le franc suisse "énormément surévalué", ajoutant qu'elle ne "tolèrerait pas" un "durcissement des conditions monétaires" et lutterait donc contre une telle évolution.
Le swissy a également perdu beaucoup de terrain sur l'euro, l'EUR/CHF raflant 1.91% pour culminer à 1.0499.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître en cours de journée leur solde officiel du commerce extérieur, ainsi que des rapports gouvernementaux sur les nouvelles inscriptions au chômage et les réserves de gaz naturel.