Investing.com - L'euro était en berne face au dollar U.S. ce mercredi, après que l'agence Moody's Investor Services ait rabaissé sa notation de deux des plus grosses banques françaises, ravivant la crainte d'une aggravation de la crise de la dette souveraine régionale.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3592 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3618, perdant 0.45%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3493, son plancher des sept derniers mois datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.3738, son plafond de mardi.
L'agence de notation Moody's a en effet dégradé son appréciation des banques françaises Société Générale et Crédit Agricole, invoquant leur surexposition aux dettes grecques, et a déclaré approfondir son audit de BNP Paribas.
L'Italie a quand à elle vu s'envoler les coûts de ses emprunts vers des sommets jamais vus depuis la mise en place en 1999 de la monnaie unique, les incertitudes liées à l'exécution des plans d'austérité perturbant les investisseurs.
George Papandreou, premier ministre hellène, devrait pour sa part tenir aujourd'hui une conférence téléphonique avec la dirigeante allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.
La devise européenne a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.11% pour glisser à 0.8656.
Les Etats-Unis dévoileront en cours de journée le volume de leurs ventes au détail, ainsi que leur inflation des prix à la production, tandis que Timothy Geithner, leur sécrétaire d'état au trésor, prononcera un discours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3592 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3618, perdant 0.45%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3493, son plancher des sept derniers mois datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.3738, son plafond de mardi.
L'agence de notation Moody's a en effet dégradé son appréciation des banques françaises Société Générale et Crédit Agricole, invoquant leur surexposition aux dettes grecques, et a déclaré approfondir son audit de BNP Paribas.
L'Italie a quand à elle vu s'envoler les coûts de ses emprunts vers des sommets jamais vus depuis la mise en place en 1999 de la monnaie unique, les incertitudes liées à l'exécution des plans d'austérité perturbant les investisseurs.
George Papandreou, premier ministre hellène, devrait pour sa part tenir aujourd'hui une conférence téléphonique avec la dirigeante allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.
La devise européenne a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.11% pour glisser à 0.8656.
Les Etats-Unis dévoileront en cours de journée le volume de leurs ventes au détail, ainsi que leur inflation des prix à la production, tandis que Timothy Geithner, leur sécrétaire d'état au trésor, prononcera un discours.