Investing.com - Le dollar U.S. était en nette baissse face au franc suisse ce mercredi, après que la Banque Nationale Suisse ait annoncé de nouvelles mesures destinées à juguler l'ascension de sa monnaie, sans toutefois aller jusqu'à la lier à l'euro.
La paire USD/CHF est remdescendue depuis 0.8016, son cours le plus élevé depuis le 29 juillet, jusqu'à 0.7873 en première partie de séance européenne, perdant 1.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7547, son plancher du 12 août, et de rencontrer de la résistance à 0.8046, son plafond du 28 juillet.
La banque centrale helvète avait auparavant dévoilé en quoi consisterait son programme d'affaiblissement de sa devise, notamment l'augmentation du volume des liquidités disponibles sur les marchés monétaires ainsi que des transactions sur le forex pour en freiner la récente flambée.
La BNS a ajouté que les dépôts à vue des banques auprès d'elle devraient prendre de l'importance et qu'elle était prête à aller plus loin si son action devait s'avérer insuffisante.
Elle n'a cependant pas été jusqu'à lier le swissy avec l'euro ou intervenir directement sur le marché des changes, alors que les propos de Thomas Jordan, son vice-président, avaient pourtant alimenté les rumeurs à ce sujet.
Son communiqué indiquait: "Les mesures prises par la BNS pour contrer le renforcement du franc suisse ont eu un impact, mais ce dernier reste énormément surévalué".
Il a encore trouvé du soutien après que la réunion d'hier entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, n'ait pas réussi à apaiser les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Ces derniers ont proposé la création d'un nouveau conseil destiné à améliorer la gouvernance de la zone euro, et comptent introduire une taxe sur les transactions financières en septembre.
L'augmentation du volume du fonds de secours n'a toutefois pas été décidée, alors que bien des observateurs l'estiment insuffisant au cas où les problèmes de surendettement devaient s'étendre en Italie, en Espagne ou en France.
L'idée d'émettre des obligations européennes a également été rejetée, invoquant le fait que ces dernières n'apporteraient pas de solution durable au problème de la dette souveraine, entraînant la déception des acteurs des marchés qui en attendaient la création.
Le swissy a donc gagné un terrain substantiel sur l'euro, l'EUR/CHF plongeant de 1.25% pour tomber à 1.1323.
Les autorités des Etats-Unis devraient faire connaître en cours d'après-midi leur inflation des prix à la production, ainsi que le volume des réserves de pétrole brut.
La paire USD/CHF est remdescendue depuis 0.8016, son cours le plus élevé depuis le 29 juillet, jusqu'à 0.7873 en première partie de séance européenne, perdant 1.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7547, son plancher du 12 août, et de rencontrer de la résistance à 0.8046, son plafond du 28 juillet.
La banque centrale helvète avait auparavant dévoilé en quoi consisterait son programme d'affaiblissement de sa devise, notamment l'augmentation du volume des liquidités disponibles sur les marchés monétaires ainsi que des transactions sur le forex pour en freiner la récente flambée.
La BNS a ajouté que les dépôts à vue des banques auprès d'elle devraient prendre de l'importance et qu'elle était prête à aller plus loin si son action devait s'avérer insuffisante.
Elle n'a cependant pas été jusqu'à lier le swissy avec l'euro ou intervenir directement sur le marché des changes, alors que les propos de Thomas Jordan, son vice-président, avaient pourtant alimenté les rumeurs à ce sujet.
Son communiqué indiquait: "Les mesures prises par la BNS pour contrer le renforcement du franc suisse ont eu un impact, mais ce dernier reste énormément surévalué".
Il a encore trouvé du soutien après que la réunion d'hier entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, n'ait pas réussi à apaiser les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Ces derniers ont proposé la création d'un nouveau conseil destiné à améliorer la gouvernance de la zone euro, et comptent introduire une taxe sur les transactions financières en septembre.
L'augmentation du volume du fonds de secours n'a toutefois pas été décidée, alors que bien des observateurs l'estiment insuffisant au cas où les problèmes de surendettement devaient s'étendre en Italie, en Espagne ou en France.
L'idée d'émettre des obligations européennes a également été rejetée, invoquant le fait que ces dernières n'apporteraient pas de solution durable au problème de la dette souveraine, entraînant la déception des acteurs des marchés qui en attendaient la création.
Le swissy a donc gagné un terrain substantiel sur l'euro, l'EUR/CHF plongeant de 1.25% pour tomber à 1.1323.
Les autorités des Etats-Unis devraient faire connaître en cours d'après-midi leur inflation des prix à la production, ainsi que le volume des réserves de pétrole brut.