Investing.com - La livre sterling a vu ses gains fondre puis s'inverser face au dollar U.S. ce mardi, retombant d'un pic journalier consécutif à l'intervention de la Banque Nationale Suisse sur le marché des changes, tirant l'euro vers le bas, celui-ci l'entraînant à sa suite.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.6202, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 1.6091 en seconde partie de séance européenne, perdant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.604, son plancher du 18 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.6185, son plafond de lundi.
La monnaie unique avait auparavant réalisé de bonnes performances par rapport à la plupart de ses concurrentes après que la BNS ait déclaré ce matin avoir mis en place un objectif de taux de change minimal de 1.2 francs suisses par euro.
Elle a affirmé agir ainsi en raison des risques que l'énorme surévaluation de sa monnaie faisait courir à l'économie nationale, et notamment celui de déflation, ajoutant être prête à faire respecter ce taux plancher avec "la plus grande détermination", quitte à acquérir des devises étrangères "en quantités illimités" pour le faire.
L'embellie a toutefois été de courte durée, la combinaison du spectre de l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro et des craintes concernant le futur de l'économie des Etats-Unis continuant à peser.
Les angoisses liées aux perspectives économiques britannique ont n'ont certainement pas été apaisées par le consortium des revendeurs britanniques BRC, faisant savoir ce matin que les ventes aux particuliers avaient diminué en août, ceux-ci restreignant les achats superflus, notamment les meubles et l'électroménager.
La devise de la Grande-Bretagne est restée en panne contre l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.69% pour grimper à 0.8806.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis publiera quand à lui une étude sur l'activité du secteur tertiaire dans l'après-midi.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.6202, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 1.6091 en seconde partie de séance européenne, perdant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.604, son plancher du 18 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.6185, son plafond de lundi.
La monnaie unique avait auparavant réalisé de bonnes performances par rapport à la plupart de ses concurrentes après que la BNS ait déclaré ce matin avoir mis en place un objectif de taux de change minimal de 1.2 francs suisses par euro.
Elle a affirmé agir ainsi en raison des risques que l'énorme surévaluation de sa monnaie faisait courir à l'économie nationale, et notamment celui de déflation, ajoutant être prête à faire respecter ce taux plancher avec "la plus grande détermination", quitte à acquérir des devises étrangères "en quantités illimités" pour le faire.
L'embellie a toutefois été de courte durée, la combinaison du spectre de l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro et des craintes concernant le futur de l'économie des Etats-Unis continuant à peser.
Les angoisses liées aux perspectives économiques britannique ont n'ont certainement pas été apaisées par le consortium des revendeurs britanniques BRC, faisant savoir ce matin que les ventes aux particuliers avaient diminué en août, ceux-ci restreignant les achats superflus, notamment les meubles et l'électroménager.
La devise de la Grande-Bretagne est restée en panne contre l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.69% pour grimper à 0.8806.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis publiera quand à lui une étude sur l'activité du secteur tertiaire dans l'après-midi.