Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, tandis que l'euro souffrait des incertitudes concernant un éventuel recours de la Grèce à de nouvelles aides économiques.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour glisser à 1.4395.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.15% pour se hisser à 1.639.
Des chiffres officiels avaient montré dans la matinée que le déficit du commerce extérieur de la Grande-Bretagne avait davantage augmenté en mars qu'il n'avait été craint.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY laissant échapper 0.15% pour se retrouver à 80.75 et l'USD/CHF se faisant grignoter 0.03% pour tomber à 0.8795.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.31% pour aller vers 0.9537, l'AUD/USD raflant 0.28% pour monter à 1.0867 et le NZD/USD arrachant 0.03% pour culminer à 0.7953.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait auparavant déclaré que la devise nationale était "plus forte que souhaitable" par rapport au billet vert.
L'indice dollar, reflétant les performances de celui-ci par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'état de leur balance commerciale, mais aussi celui de leurs réserves de pétrole brut et de l'équilibre budgétaire fédéral.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour glisser à 1.4395.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.15% pour se hisser à 1.639.
Des chiffres officiels avaient montré dans la matinée que le déficit du commerce extérieur de la Grande-Bretagne avait davantage augmenté en mars qu'il n'avait été craint.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY laissant échapper 0.15% pour se retrouver à 80.75 et l'USD/CHF se faisant grignoter 0.03% pour tomber à 0.8795.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.31% pour aller vers 0.9537, l'AUD/USD raflant 0.28% pour monter à 1.0867 et le NZD/USD arrachant 0.03% pour culminer à 0.7953.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait auparavant déclaré que la devise nationale était "plus forte que souhaitable" par rapport au billet vert.
L'indice dollar, reflétant les performances de celui-ci par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'état de leur balance commerciale, mais aussi celui de leurs réserves de pétrole brut et de l'équilibre budgétaire fédéral.