Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce lundi, l'euro ayant subi une forte chute, tiré vers le bas par l'angoisse de la crise de la dette des pays l'ayant adopté.
En seconde partie de séance européenne, la monnaie unique a en effet flanché devant lui, l'EUR/USD dégringolant de 0.78% pour s'effondrer à 1.3442.
Ces pertes sont survenues après l'annonce de l'échec des négociations pour le sauvetage de la banque allemande en difficulté WestLB en fin de semaine, alors que se présentait la dernière ligne droite avant la présentation d'un plan de restructuration devant la Commission Européenne.
Le billet vert a également arraché quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.04% pour reprendre pied à 1.5999.
Il a d'autre part bien résisté à la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY ne hoquetant que de 0.01% pour se retrouver à 83.42 et l'USD/CHF glissant de 0.06% pour tomber à 0.9726.
Des informations officielles avaient auparavant indiqué que le produit intérieur brut japonais avait moins diminué que prévu pour le quatrième trimestre, ne laissant en effet échapper que 0.3% avec ajustement saisonnier après avoir bondi de 0.8% après révision lors du précédent, et ce alors que les experts pensaient le voir perdre 0.5%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.11% vers 0.9884, l'AUD/USD chutant de 0.15% pour descendre à 1.0007 et le NZD/USD s'écroulant de 0.69% pour toucher le fond à 0.7551.
Une étude émanant des autorités publiée ce matin avait montré que la hausse du volume des prêts immobiliers australiens avait dépassé les attentes pour décembre, tandis qu'une autre mettait en évidence une baisse plus forte qu'il n'avait été craint de ventes au détail en Nouvelle-Zélande sur la même période.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.53%.
Les ministres des finances de la zone euro ont prévu de discuter en fin de journée du renforcement du fonds de secours de 440 milliards d'euros de la région, l'Allemagne restant toutefois réticente à cette idée sans la contrepartie de l'engagement des autres membres dans une coordination économique plus étroite.
En seconde partie de séance européenne, la monnaie unique a en effet flanché devant lui, l'EUR/USD dégringolant de 0.78% pour s'effondrer à 1.3442.
Ces pertes sont survenues après l'annonce de l'échec des négociations pour le sauvetage de la banque allemande en difficulté WestLB en fin de semaine, alors que se présentait la dernière ligne droite avant la présentation d'un plan de restructuration devant la Commission Européenne.
Le billet vert a également arraché quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.04% pour reprendre pied à 1.5999.
Il a d'autre part bien résisté à la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY ne hoquetant que de 0.01% pour se retrouver à 83.42 et l'USD/CHF glissant de 0.06% pour tomber à 0.9726.
Des informations officielles avaient auparavant indiqué que le produit intérieur brut japonais avait moins diminué que prévu pour le quatrième trimestre, ne laissant en effet échapper que 0.3% avec ajustement saisonnier après avoir bondi de 0.8% après révision lors du précédent, et ce alors que les experts pensaient le voir perdre 0.5%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.11% vers 0.9884, l'AUD/USD chutant de 0.15% pour descendre à 1.0007 et le NZD/USD s'écroulant de 0.69% pour toucher le fond à 0.7551.
Une étude émanant des autorités publiée ce matin avait montré que la hausse du volume des prêts immobiliers australiens avait dépassé les attentes pour décembre, tandis qu'une autre mettait en évidence une baisse plus forte qu'il n'avait été craint de ventes au détail en Nouvelle-Zélande sur la même période.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.53%.
Les ministres des finances de la zone euro ont prévu de discuter en fin de journée du renforcement du fonds de secours de 440 milliards d'euros de la région, l'Allemagne restant toutefois réticente à cette idée sans la contrepartie de l'engagement des autres membres dans une coordination économique plus étroite.