Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à ses principaux concurrents ce mardi, les craintes concernant une hypothétique extension des problèmes de dette souveraine à la zone euro stimulant les besoins en investissements sûrs.
En première partie de séance européenne, il fait fléchir l'euro, l'EUR/USD dévissant de 0.67% pour tomber à 1.3037, alors que des chiffres officiels dévoilés ce matin avaient montré pour novembre une baisse du chômage allemand inférieure aux prévisions.
Il a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.35% pour descendre à 1.5516. Une étude avait auparavant souligné que l'humeur de la Grande-Bretagne était tombée en novembre à son pire niveau des 4 derniers mois, les coupes budgétaires imminentes dans les dépenses publiques ayant mis à mal les perspectives pour 2011.
Le yen et le franc suisse se sont par contre imposés à lui, l'USD/JPY cédant 0.22% pour se hisser à 84.06, l'USD/CHF glissant de 0.25% pour se retrouver à 0.9975.
Des résultats de source gouvernementale avaient par ailleurs indiqué que la production industrielle japonaise avait moins diminué en octobre que prévu, mais que le taux de chômage avait connu une hausse inattendue. Un autre rapport publié ce matin faisait quand à lui savoir que l'indicateur UBS de la consommation suisse était légèrement remonté à 1.72 en octobre, après une nette régression à 1.7 au mois précédent.
La monnaie américaine a par contre dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD gagnant 0.32% pour se hisser à 1.0213, l'AUD/USD dérapant de 0.48% pour se situer à 0.9581 et le NZD/USD laissant échapper 0.55% pour reprendre pied à 0.7416.
Les institutions australiennes ont signalé de leur côté que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés le mois dernier avait augmenté pour la première fois en 7 mois, et de manière nettement supérieure aux prédictions.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a progressé de 0.45%.
Les Etats-Unis ont prévu de divulguer dans la journée des informations provenant de spécialistes sur les prix des logements, ainsi que sur la confiance de leurs consommateurs, sans oublier un indice de l'activité de la région de Chicago, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait prendre la parole au cours d'une conférence publique.
En première partie de séance européenne, il fait fléchir l'euro, l'EUR/USD dévissant de 0.67% pour tomber à 1.3037, alors que des chiffres officiels dévoilés ce matin avaient montré pour novembre une baisse du chômage allemand inférieure aux prévisions.
Il a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.35% pour descendre à 1.5516. Une étude avait auparavant souligné que l'humeur de la Grande-Bretagne était tombée en novembre à son pire niveau des 4 derniers mois, les coupes budgétaires imminentes dans les dépenses publiques ayant mis à mal les perspectives pour 2011.
Le yen et le franc suisse se sont par contre imposés à lui, l'USD/JPY cédant 0.22% pour se hisser à 84.06, l'USD/CHF glissant de 0.25% pour se retrouver à 0.9975.
Des résultats de source gouvernementale avaient par ailleurs indiqué que la production industrielle japonaise avait moins diminué en octobre que prévu, mais que le taux de chômage avait connu une hausse inattendue. Un autre rapport publié ce matin faisait quand à lui savoir que l'indicateur UBS de la consommation suisse était légèrement remonté à 1.72 en octobre, après une nette régression à 1.7 au mois précédent.
La monnaie américaine a par contre dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD gagnant 0.32% pour se hisser à 1.0213, l'AUD/USD dérapant de 0.48% pour se situer à 0.9581 et le NZD/USD laissant échapper 0.55% pour reprendre pied à 0.7416.
Les institutions australiennes ont signalé de leur côté que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés le mois dernier avait augmenté pour la première fois en 7 mois, et de manière nettement supérieure aux prédictions.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a progressé de 0.45%.
Les Etats-Unis ont prévu de divulguer dans la journée des informations provenant de spécialistes sur les prix des logements, ainsi que sur la confiance de leurs consommateurs, sans oublier un indice de l'activité de la région de Chicago, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait prendre la parole au cours d'une conférence publique.