Investing.com - Le dollar U.S. a repris des couleurs face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, tandis que la livre sterling rebondissait après que la Banque d'Angleterre ait revu à la hausse l'inflation à moyen terme prévue dans son rapport trimestriel sur le sujet.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.32% pour glisser à 1.4361.
Le ministre adjoint aux finances allemand avait auparavant fait savoir que les représentants de la zone euro discuteraient de la crise de la dette grecque la semaine prochaine mais ne prendraient aucune décision sur la question.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.74% pour se hisser à 1.6487.
La banque centrale de la Grande-Bretagne avait précédemment indiqué que les taux d'intérêt seraient relevés à partir du troisième trimestre 2011 afin de lutter contre l'inflation galopante.
Le yen et le franc suisse ont d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY gagnant 0.4% pour se retrouver à 81.18 et l'USD/CHF grignotant 0.19% pour monter à 0.8815.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.29% pour aller vers 0.9538, l'AUD/USD se laissant rogner 0.03% pour chuter à 1.0833 et le NZD/USD perdant 0.17% pour toucher le fond à 0.7937.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait auparavant déclaré que la devise nationale était "plus forte que souhaitable" par rapport au billet vert.
L'indice dollar, reflétant les performances de celui-ci par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a s'est renforcé de 0.07%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'état de leur balance commerciale, mais aussi celui de leurs réserves de pétrole brut et de l'équilibre budgétaire fédéral.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.32% pour glisser à 1.4361.
Le ministre adjoint aux finances allemand avait auparavant fait savoir que les représentants de la zone euro discuteraient de la crise de la dette grecque la semaine prochaine mais ne prendraient aucune décision sur la question.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.74% pour se hisser à 1.6487.
La banque centrale de la Grande-Bretagne avait précédemment indiqué que les taux d'intérêt seraient relevés à partir du troisième trimestre 2011 afin de lutter contre l'inflation galopante.
Le yen et le franc suisse ont d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY gagnant 0.4% pour se retrouver à 81.18 et l'USD/CHF grignotant 0.19% pour monter à 0.8815.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.29% pour aller vers 0.9538, l'AUD/USD se laissant rogner 0.03% pour chuter à 1.0833 et le NZD/USD perdant 0.17% pour toucher le fond à 0.7937.
Alan Bollard, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait auparavant déclaré que la devise nationale était "plus forte que souhaitable" par rapport au billet vert.
L'indice dollar, reflétant les performances de celui-ci par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a s'est renforcé de 0.07%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'état de leur balance commerciale, mais aussi celui de leurs réserves de pétrole brut et de l'équilibre budgétaire fédéral.