Investing.com - Le dollar U.S. s'est extirpé de son creux des cinq derniers jours face au franc suisse ce mercredi, mais ses gains sont restés limités suite aux résultats économiques des Etats-Unis décevants de mardi et à la persistance des craintes concernant la crise de la dette de la zone euro.
La paire USD/CHF est remontée depuis 0.8783, son plus bas niveau depuis le 11 mai, jusqu'à 0.8809 en première partie de séance européenne, arrachant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8705, son plancher du 10 mai, et de rencontrer de la résistance à 0.8937, son plafond du 16.
Des chiffres officiels avaient en effet indiqué mardi que le nombre des permis de construire et des départs de chantiers américains avait diminué en avril, tandis que la production des usines s'amenuisait, confortant l'idée selon laquelle la Réserve Fédérale avait des chances de maintenir une politique monétaire assouplie pendant encore un temps.
Les plus hautes autorités économiques européennes avaient de leur côté laissé entendre pour la première fois ce jour-là que la Grèce opurrait devoir restructurer ses dettes.
Jean-Claude Juncker, chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, a effectivement déclaré hier que la Grèce pourrait connaître une "restructuration douce" de sa dette si Athènes s'engageait à entreprendre des réformes capitales et à accélérer la privatisation des actifs de l'état.
Le swissy a aussi perdu un peu de terrain sur l'euro, l'EUR/CHF prenant 0.15% pour se hisser à 1.255.
La Réserve Fédérale des Etats-Unis devrait quand à elle publier aujourd'hui le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique d'avril.
La paire USD/CHF est remontée depuis 0.8783, son plus bas niveau depuis le 11 mai, jusqu'à 0.8809 en première partie de séance européenne, arrachant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8705, son plancher du 10 mai, et de rencontrer de la résistance à 0.8937, son plafond du 16.
Des chiffres officiels avaient en effet indiqué mardi que le nombre des permis de construire et des départs de chantiers américains avait diminué en avril, tandis que la production des usines s'amenuisait, confortant l'idée selon laquelle la Réserve Fédérale avait des chances de maintenir une politique monétaire assouplie pendant encore un temps.
Les plus hautes autorités économiques européennes avaient de leur côté laissé entendre pour la première fois ce jour-là que la Grèce opurrait devoir restructurer ses dettes.
Jean-Claude Juncker, chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, a effectivement déclaré hier que la Grèce pourrait connaître une "restructuration douce" de sa dette si Athènes s'engageait à entreprendre des réformes capitales et à accélérer la privatisation des actifs de l'état.
Le swissy a aussi perdu un peu de terrain sur l'euro, l'EUR/CHF prenant 0.15% pour se hisser à 1.255.
La Réserve Fédérale des Etats-Unis devrait quand à elle publier aujourd'hui le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique d'avril.